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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 17:58

Mon loulou, les monstres, P’tit Loup…

 

Ah ça, quand je te demande comment tu surnommes tes  nains, les réponses sont assez inattendues.

Je précise d’ailleurs que les nains, ce sont vos enfants. Parce qu’une lectrice m’a demandé si je parlais des seins. Non, non, je ne suis pas encore assez intime avec toi pour te demander comment tu appelles tes nichons. Je ne savais même pas que tu leur donnais un surnom d’ailleurs. Il faudra m’éclairer à ce sujet quand le moment sera venu.

 

 

J’aime ta réactivité. Je te pose des questions personnelles et tu te livres, sans peur, ni honte. Tu devrais te méfier, pourtant. Je suis une vilaine vicieuse, la preuve avec cet article où je vais m’amuser à dévoiler tes secrets nainesques mais sans pousser trop loin quand même (non, je ne révèlerai ni ton nom, ni ton adresse mail)

 

Donc, dans le palmarès des surnoms donnés, on retrouve :

 

-          Mon loulou, ma louloutte. Pourquoi est-ce autant utilisé ? Cela vient du loup, non ? Ou de la loutre ? Rien de très glamour et pourtant, ça circule en toute impunité dans ta bouche.

 

-          Les monstres (autre variante : les gnômes, les chiards, les terreurs) : tu craques ou quoi ? C’est ça ? Allez, on a toutes nos moments de ras-le-bol. Surtout quand tu supportes ça toute la journée :

 

bébé

 oui, le nain pleure. Ou plutôt braille...Fo pas s'étonner que tu le qualifies de monstre.

 

Bon, il a aussi ses bons côtés, le petiot. Du coup, tu te radoucis et t'adonne à ton sport favori : le surnom de mère qui béatifie devant un caca puant, enfin, plutôt face à un joli sourire. Ca donne alors :

 

-          Ma bouille, mon ange, mon trésor, mon lapin, mon chat : ah, là tu le kiffes ton nain ! Remarque que l’avantage du surnom, c’est que le petit passe vite de mon monstre à petit sucre d’orge. Pratique.

 

-          Dans les surnoms bizarres que tu m’as donné, j’ai particulièrement aimé « les piafs », « les schtroumpfs », « poupouille / pouilleux » et La Bounette. Je me demande où tu vas chercher tout ça !

 

Et puis y’a encore « moche » et les « petits culs », » cacahuète », « ma nonette »…J’adore.

 

Je ne pensais pas que j’aurais droit à une telle richesse, à des délires sémantiques aussi fort. Bref, bientôt, tu seras à ma place à raconter des conneries et je n’aurais plus qu’à me rhabiller tant je paraîtrais niaise et dépourvue d’imagination. Quand ce jour arrivera, rappelle-moi que dans le temps, je te faisais faire tes exercices de gymnastique faciale. Ca me remontera mon moral de vieux peau dépressive, tiens.

 

Tu l’auras compris, pour que tu continues  à me lire, il faut que je te surprenne mais après un an à te raconter des cracks, ça commence à devenir difficile.

 

Pour Nathalie V. qui dit (je cite, hein, Nathalie ?) : « chouchou + boubou = les zouzous. C'est grave docteur de bêtifier encore avec un pré-ado ? », je te réponds : fais toi plaisir, Nathalie ! Pour l’instant, je n’ai que des Razmo de 5 et 2 ans. Je peux encore bêtifier à fond. Mais plus tard, je ne sais pas ce que ça va donner. Surtout avec numérobis qui a un foutu caractère (la faute au mâle, mais t’as rien lu, parce que bon, en ce qui me concerne, j’ai bon caractère fufufu).

 

Si ta pré-ado aime ça, continue, ce serait dommage de passer à côté des zouzous.

 

J’attends tes autres surnoms, surprend-moi, je suis sûre que tu en as encore sous le pied. J’ai plus qu’à me rhabiller.

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 18:11

Attends, aujourd'hui, je vais te parler de mon expérience de maman. Ouais, ça m'arrive de te raconter des trucs véridiques quand même et peut-être même des choses prouvées scientifiquement (comme l'article d'hier sur le fait que les mâles ne nous écoutent pas mais c'est parce qu'on a des voix de crécelle).

 

Bref, on s'en fout, je vais pas te parler de ça, mais plutôt de ma jolie découverte sur le site de TYA'ttitude. J'fais pas ma faignasse, voilà le lien, t'as plus qu'à cliquer : www.sacres-momes.com/vendeur-ttitude,121.html

 

Bon, c'est quoi cette boutique ?! C'est tout simplement une webshop qui te propose des trucs éthiques et originaux. Tu sais : la pollution, la déforestation...c'est son dada. Et sa politique d'entreprise.

 

Alors inutile de te dire que ça, c'est éthique mais surtout, ça va aider la naine à faire du vélo, bouge pas, je te mets la jolie photo et t'explique comment :

 

flowers_611.jpg

 

(c'est par là pour la trouver : http://www.tyattitude.com/draisienne-en-bois-kurve-flower.html)

 

Oui, ça n'a pas de pédale, et pour ta gouverne, c'est une draisienne. Très bien pour replacer dans la conversation et pour déstabiliser l'adversaire lors d'une partie de scrabble endiablée.

 

Tu as du remarquer que c'est un modèle pour naine, le petit refusera de monter dessus, trop girly à son goût. Peu importe. La naine va pouvoir crâner devant ses copines avec son modèle flower power.

 

Mais attention, la draisienne est loin d'être facile à manipuler et c'est là tout son intérêt : si la naine maîtrise l'engin, elle sera capable de conduire n'importe quel deux-roues et à elle les folles virées dans les parcs voisins (à toi les courses effrénées pour la rattraper, youpiiiiii)

 

Tu l'as compris, TYA'ttitude a tout bon. Et un autre site qui a tout compris et te propose des idées cadeaux originales, c'est sacrés mômes. Et comme je suis particulièrement motivée aujourd'hui, je te colle même le lien (remercie pas, c'est naturel) : www.sacres-momes.com

 

Préviens bien le Père Noël de faire le plein de cadeaux sur ces sites. Je ne serai pas étonnée qu'il troque son traîneau contre une draisienne (et ce serait bon pour son régime d'ailleurs).

 

Tu connaissais ce type de deux roues ?

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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 19:24

Même pas peur. Et du coup, j'en profite pour me la couler douce et rien écrire sur mon blog. Pourquoi fatiguerai-je mon cerveau pisseur de lignes, alors que d'autres cerveaux pissent droit, comme ça, sans effort ?

 

Ce soir, je te présente Linda et son texte humoristique, tu peux la retrouver par là :

 

https://www.facebook.com/#!/mamandoudou?sk=wall

 

J’ai fait un rêve…que dis j’ai fait le Rêve avec un R majuscule… ce rêve que tout le monde fait un jour quand tu te disputes avec ton chéri poutou… ce rêve que tu fais quand ton alien monstre venu d’ailleurs de crie à tue-tête « maman, maman, maman… » bon je vais pas te l’écrire  20 fois d’affilée…quand le monstre le dit oralement c’est énervant, mais par écrit, c’est usant… ; ce rêve que tu fais quand ton boss te bassine en entretien avec des chiffres dont tu n’y comprends rien… ; ce rêve que tu fais quand t’es saoulé par la situation présente, qui te donne la sensation de couler et d’en avoir ras le bol !!!

J’ai donc fait ce rêve et je vais te le faire partager…

Mes yeux s’ouvrent, il est 11h (ouais, dans mon rêve, je fais une grasse matinée et le réveil matin alias la voix de mon monstre ne sonne pas!)… je me lève et vais prendre un jus d’orange fraichement pressé (ben oui, déjà fait !), je sors sur une magnifique terrasse bordée d’une belle piscine avec vue mer, et je prends le temps de me prélasser… Je décide que je vais sortir pour faire je ne sais quoi (oui dans mon rêve ce n’est pas pour aller faire les courses), je n’ai pas besoin de me faire un ravalement de façade avant de sortir, car dans mon rêve, j’ai un teint parfait, sans cerne, ni marque de fatigue… bref, je sors avec ma superbe voiture coupée sport, car dans mon rêve, je n’ai pas besoin de la familiale !!! Je parcours des kilomètres sans m’arrêter, car dans mon rêve, la pause pipi, et c’est quand qu’on arrive n’existent  pas…j’arrive devant un jolie port, le crie des mouettes titillent mon ouïe… le clapotis de l’eau me rappelle une douce mélodie, (plus jolie que les jérémiades de mon monstre !)

Je m’installe et me fait servir un bon repas que je prends le temps de déguster (oui dans mon rêve je ne reprends pas le boulot à 14h !)… après cela, je peux m’installer sur un bateau du port pour m’allonger, regarder les nuages, et faire un somme…L’après-midi se prolonge au gré des nuages qui passent… je profite du moment présent car dans mon rêve je ne dois pas penser au repas du soir, ni à la liste de courses, ni à l’organisation du lendemain…

J’attends que le temps passe jusqu’au soir ou je retourne dans cette belle maison (très propre, car dans mon rêve, Mme fée du logis, ce n’est pas moi…non non !)… mais là, je commence à m’éveiller, ce rêve ne me plait plus tant que ça… cette belle maison, cette belle voiture, ce calme, tout est trop parfait, trop lisse, trop calme… mon chéri poutou me manque… mon crapaud et ces cris ne sont pas là, ces petits petons qui tapent le sol quand ils marchent n’égayent pas la maison… je me sens seule et j’étouffe, j’implose, je veux du bruit, je veux des disputes, je veux que mon garnement me cherche et me trouve, je veux de l’imperfection, je veux ma vie bien remplie par toutes ces tâches qui me saoulent !!! Je veux vivre ! Serais-je maso !! Non, je suis une épouse, et une mère heureuse qui a juste besoin de souffler et surtout de délirer de temps en temps… le rêve c’est bien, mais la réalité, et le bonheur sont souvent la, à portée de main…Pourquoi chercher toujours ailleurs ce que nous avons à côté !! à toutes les mamans débordés !

 

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28 août 2011 7 28 /08 /août /2011 21:26

Oui, attends, tu vas voir ! Le grand Rodolphe Fontaine, celui qui signera bientôt des autographes par centaines, figure toi qu'il a relevé le défi de l'écriture loufoque et je trouve qu'il a assuré ! Ca valait bien une place sur mon blog non ?

 

Surtout Roro, rappelle-toi que quand tu seras célèbre, j'aurai de quoi te faire chanter si tu es pas sympa avec moi, eh ouais...Le texte qui va suivre est un défouraille, je te le dis !

 

Bravo à Rodolphe, donc, que tu retrouves ici si t'es pas encore pote avec lui (dépêche toi avant qu'il soit trop célèbre) :

 

https://www.facebook.com/#!/rodolphe.fontaine1

 

 

Terminé les sujets à deux balles…

 

Les nains, les pitbulls, les moules, vous en avez marre (oui, vous avez remarqué, moi, je vous vouvoie car on ne se connait pas trop, lectrice, lecteur…) ?!?

 

Et vous avez raison !!!

 

Puisque la parole (enfin, le clavier en l’espèce) m’est gracieusement offerte (je voulais lui vendre mon article, à la Alex, mais elle a jamais voulu sortir le chéquier… J’ai pas compris, elle m’a dit : « je te paierai quand tu me montreras tes abdos »)*, je voudrais aborder un sujet hautement important…

 

Alors oui, on m’a prévenu… On m’a dit : c’est pas politiquement correcte de parler de ça, tu risques de choquer, de te mettre des gens à dos…

 

Bah, j’en ai rien à branler, moi !!! J’suis un fou, un gue-din (comme ils disent dans le 9-3)… J’ai plus rien à perdre, moi !!!

 

Donc, je voulais vous parler de ce sujet délicat : les gens qui parlent dans leur sommeil. Faut reconnaitre, c’est chiant, hein ?!? En fait, c’est surtout chiant pour celui qui a un sommeil léger… Parce que si tu as le sommeil lourd (ah oui, maintenant, je trouve qu’on se connait mieux, on a brisé la glace, alors je préfère te tutoyer), tu ne remarques rien, tu dors, petite chanceuse, petit chanceux.

 

grasse mat

 Rodolphe en pleine action/réfléxion sur son prochain bouquin

 

Tu l’auras compris, moi, j’ai le sommeil léger… et ma moitié parle en dormant…

 

Ça, c’était la théorie, passons donc à la pratique maintenant !!!

 

Cinq heures du mat’, j’ai des frissons (j’suis insomniaque... c’est pratique quand ta passion c’est d’écrire… ah oui, j’vous ai pas dit, j’ai écris un roman… oui, oui, ça va Alex, j’arrête, pas de pub…).

 

Je n’arrive toujours pas à m’expliquer comment une femme qui pèse la moitié de mon poids a besoin du triple de couverture que moi… J’attrape donc un bout de cette couette et tire doucement vers moi pour ne pas la réveiller… Mais y’a un truc qui coince… A cette heure là, dans le noir, tu cherches pas à savoir, hein, tu tires un peu plus fort, puis encore un plus fort puis finalement un grand coup sec ! Et voilà le travail ! Sauf qu’elle ronchonne quand même un peu : une petite caresse dans le dos, un léger baiser sur la nuque et en voiture Simone, c’est parti pour le village dans les nuages.

 

A mon tour de prendre la route d’ailleurs : le temps de me réchauffer, de trouver la bonne position… ça y est… je commence à trouver le sommeil… Ah, doux rêves, attendez-moi, j’arrive… Un ciel bleu, une plage de sable fin, une jeune femme vêtue de blanc s’approche de moi, je la prends dans mes bras et elle me susurre à l’oreille : « la Mésopotamie, c’est en Egypte ? ».

 

Je me réveille en sursaut, je regarde à gauche, à droite et réalise finalement que ce n’est pas Julien Lepers mais bien ma moitié qui m’a posé cette question ! Après m’être répété mentalement cette dernière une bonne dizaine de fois, je m’assois dans le lit et réponds gentiment et bêtement : « ben, en partie » (bonne réponse de Rodolphe, hurle alors Julien Lepers dans la chambre… mais, non, je déconne !!!).

 

Je me retourne vers ma moitié, je me penche vers elle, l’appelle doucement… Mais elle ne répond pas… Pourquoi ? Parce qu’elle dort, pardi (hé ! ho ! faut suivre !!!).

 

Voilà un exemple parmi tant d’autres ! En plus de 10 ans, j’ai eu le droit entre minuit et 5 heures du mat’ à « elle est encore là, la mouche ? » (non, ça fait juste 3 heures que je lui ai foutu un coup de bouquin après lui avoir couru derrière pendant 20 minutes dans toute la chambre), à « c’est toi, Alexandre ? » (je te vois déjà sourire malicieusement, lectrice, lecteur, mais je t’arrête tout de suite, Alexandre, c’est son frangin), à « t’as de la monnaie ? » (oui, bien sûr, j’ai toujours quelques pièces sous mon polochon) et autres « tu peux éteindre la lumière ? » (ce qui est bien évidemment drôle que si la lumière est déjà éteinte).

 

Mais bon, je me plains pas car il y a pire quand même, non ? Je parle des réveils nocturnes des nains !!! Mais ça, c’est un sujet pour Alexandra…

 

 

 

* là, c’est un hommage à Alexandra parce qu’elle adore ouvrir une parenthèse et la fermer 3 lignes plus tard…

 

 

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17 août 2011 3 17 /08 /août /2011 22:20

Ce soir, je regarde une émission sur les années 90, et je tiens mon sujet pour aujourd'hui. Tu me connais, pas de politique, pas d'évocation de la crise sur mon blog, rien que du vent, de la déconn' et cet air de "j'ai-même-pas-honte". Quoi que j'ai eu un peu honte quand même cet aprèm' face à une charmante journaliste de chez Sud Ouest quand elle m'a demandé de quoi je traitais.

 

Euh, comment dire ? Les nains ? La mode made in la p'tite maison dans la prairie. Réponse bateau : "le quotidien, M'dame."

 

Oui, je te scannerai l'article de mon quotidien préféré. On en reparlera plus tard, si ça t'intéresse.

 

Parce que ce soir, je m'attaque à la toute première série made in AB Production et crois moi c'est du lourd, ça :

 

http://www.dailymotion.com/video/x6ynqk_salut-les-muscles-episode-31-1_fun

 

Allez, enjoy. Ne regarde pas jusqu'à la fin (aucun risque). A la fin du générique, j'avais déjà lâché. Mais quand même, tu savais qu'il y avait eu 263 épisodes (!). Bon sang, c'est pas possible, ils contrôlaient pas l'audimat à cette époque ? Ou alors peut-être que plein de gens adoraient ça finalement...Peut-être pour le physique de Framboisier. Ou le côté chef-cuistot du moustachu (Eric ou René ?Je sais plus, j'ai la flemme de chercher).

 

Mais c'est qui frappe mon esprit de trentenaire (parce que quand j'avais dix ans, ça m'était pas venu à l'esprit), c'est : bon sang, ils ont craqué lors des brainstorming chez AB Productions !

 

T'imagine qu'un des concepteurs a quand même osé émettre l'idée d'introduire une extra-terreste au nom plus que douteux pour venir pimenter la vie des Musclés ?! Et t'imagine que les autres concepteurs ont tous approuvé !

 

Nos amis autrichiens seront ravis d'apprendre qu'en fait Hilguegue a été rebaptisée "extra-terrestre" pour l'occasion. L'accent autrichien ?

 

La vache. Je crois que toi comme moi, on pourrait réinventer le concept, jouer de la pseudo musique et trouver des noms débilos pour en faire une pseudo super-production.

 

Sérieux, les gars d'AB, le brainstorming, c'est du sérieux ! Personne n'a trouvé pire comme idée ? Un chien cosmonaute comme compagnon de chambrée ? Une vache à 8 pis ? Ou une star du rock déjantée peut être? (ah tiens, ça ils y ont pensé dans le Miel et les abeilles, trop fortiches  les cadres payés une fortune...)

 

Mais attend, c'est pas tout. Il fallait une folle hystérique. Bon, j'aurai pu avoir le rôle là. J'avais que dix ans, ok. Du coup, ils ont engagé Joyce Chatelier-Brunet alias Valérianne de la Motte-Piquet pour taquiner le Minet, le rendre fou et surtout le taper sans arrêt.

 

Alors, je leur tire mon chapeau, aux gars du brainstorming. Méga clap, là, quand même.

 

On est en plein délire : prénoms hasardeux, pseudo-comédiens, intrigues loufoques (quand il y en a), je n'arrive toujours à comprendre comment 263 épisodes ont pu être tournés (?)

 

Je te laisse sur cette question, et attend ton comm', comme d'hab. Viens me dire si tu craquais pour Framboisier, ou sur la moustache du moustachu (j'ai toujours pas retrouvé son prénom).

 

Et rappelle moi que j'ai pas honte d'écrire ça, parce que là, quand même, je tombe bien bas. Tu es toujours avec moi ? Ou tu me lâches pour un blog à caractère informatif qui te parle de la Crise, la Dette et de la Bourse ?!

 

Rassure-moi, je me sens seule... Oui, c'est ma p'tite crise existentielle. J'ai pas le droit ?

 

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 15:33

Nouvellement arrivé dans mes contacts, Stéphane B. a fait une entrée fracassante en me laissant ce gentil mot sur mon mur (je te cite, Stéphane, tu permets) :

 

 "Voilà. Moi qui suis un mec, avec tous les défauts que les nanas nous reconnaissent, je me suis littéralemement bidonné en lisant les chroniques d'Alexandra. Ca décape, ca ferraille, ca défouraille dans tous les coins, mais c'est fabuleux".

 

Mon style défouraille (en plus de pisser de la ligne). Déjà, j'ai demandé à l'ami gogol ce que voulait dire ce terme, encore un truc que je connais pas. Bravo la rédactrice.

 

Et devine quoi ? L'ami gogol m'amène sur le dico de la Zone...Bravo Stéphane, un terme de la cité ? Mince, pourtant, j'ai grandi près d'une cité, je connaissais tout ça...J'ai dû louper quelquechose là.

 

En même temps, je me dis que d'une cité à l'autre, d'une ville à l'autre, les termes doivent changer.

 

Bref, le dico nous apprend que ça veut dire "sortir une arme à feu" et l'ami Stomy se met en situation pour illustrer ce joli mot (comme Eric et Ramzy, mais avec l'air caillera en plus) :

 

"Entourés de béton armé sur le bitume | De bebon lacrimo y a pas beaucoup de pepon | Ni de pythons beaucoup de pits donc sont contents | Les canards quand ça défouraille comme dans | Heat pour des biftons ou de la coke » (Stomy Bugsy).

 

La vache. Quand même.

 

Attends, pire encore. Victor Hugo aussi était une caillera. J'te jure, regarde ce que j'ai trouvé, écrit par lui :

 

Ma largue part pour Versailles,
Lirlonfa malurette,
Aux pieds d'Sa Majesté ,
Lirlonfa maluré ;
Elle lui fonce un babillard ;
Pour m'faire défourailler,
tirlonfa maluré.
Pour m'faire défourailler,…

 

(finalement, j'préfère Stomy, c'est plus parlant)

 

Tout ça pour dire : merci Stéphane. Grâce à toi, le niveau de mon blog s'est élevé d'un cran. Stomy et Victor sur le même article, tu imagines ?! Et avec un vocabulaire en commun. Sacré Victor, il cachait bien son jeu quand même...

 

Après "pisser de la ligne" (si tu as raté ce grand moment de critique littéraire, c'est ici :Un style de pigiste débutante pissant de la ligne. ), je suis fière de défourailler.

 

Merci Stéphane de l'avoir dit haut et fort.

 

Ps : pour toi qui penses aussi que mon style dépote, tu peux le dire, je dois encore laver l'affront de miss "tu-pisses-de-la-ligne", va falloir du compliment pour me sortir ça de ma (grosse) tête.

 

 

 

 

 

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 20:05

Comme d’habitude, je t’ai sollicité pour que tu m’aides à trouver un sujet et tu as assuré. Ton esprit est très productif, je trouve, c’est très rassurant, car je sais que je peux compter sur toi en cas de gros coup de pompe de ma part, surtout si mon cerveau se met à pisser de traviole. 

 

Entre parenthèses, c’est déjà le cas. Il se vide de toute les âneries qu’il a amassées depuis des années pour t’offrir un concentré de niaiseries, assaisonnées à la va-vite et saupoudrées de gros sel superficiel. Tu aimes ma tambouille ? Parce que c’est cadeau pour toi. Et rassure toi, même si mes mots s’entrechoquent de manière indélicate, je ne compte pas changer de fonctionnement, à savoir : y’a pas de méthode.

 

J’écris comme dans un rêve hallucinogène où différentes scènes sans aucun rapport défileraient, je tisse des liens là où il n’en a pas ; du coup, ça dérange. Ce n’est pas très académique, et sûrement pas défendable littérairement parlant. Appelons un chat, un chat : c’est de la daube réchauffée et resservie de manière déstructurée.

 

Et alors ?!

 

Tu crois que la Petite Maison dans la Prairie, c’était cohérent ? Bon, ok, très (très) mauvaise transition. J'pourrais mieux amener le sujet. Je te jure, je pourrais.

 

Je sais pas si tu as remarqué, je parle pas Mode sur mon blog. Ni politique. Ni actualités. Bref, j’évite soigneusement les sujets compliqués pour mon cerveau tire-au-flanc.

 

Mais quand même. Une petite leçon de mode made in la p’tite Maison, ça te plairait pas ? Parce que crois-moi, il y a à dire. Te moque pas, hein ? Je sais, tu t’attendais à un autre style de débat que « le chapeau de Caroline Ingalls était-il in » ? (Pour l’époque, hein) mais désolée va falloir faire avec parce que c’est le sujet proposé suite au brainstorming. Fais toi entendre la prochaine fois et propose les fesses de Yohann Gourcuff comme sujet (n’est pas La Bounette ?)

 

Bref, leçon numéro 1 :

 

chapeau.jpg

 

Le chapeau moyenâgeux. Attends, on se moque pas. Dans la Prairie, le soleil était caniculaire et autant te dire qu’il n’y avait pas de crème indice 5O à cette époque. Autant protéger sa tête, son cou, et tout ce qu’il était possible d’épargner. (Et puis la tronche de Caroline Ingalls façon homard trop cuit, ça l’aurait pas fait).

 

Tu remarques que toutes les filles de la série se sont tapées ce bonheur immense de porter ce superbe chapeau (surtout Carrie Ingalls), pendant que les mâles échappaient au supplice.

 

Leçon numéro 2 :

 

robe-pour.jpg

 

La robe pourrave. Tu la vois, là, au premier plan sur Laura.

 

J’suis une vraie peste. Pire que la Nellie Oleson, tiens. Mais quand même. Où était le styliste de la série ?! Faut pas pousser. Une simple robe revêtue d’un tablier pour pas la salir, c’est un peu léger. En même temps, c’est l’époque. Encore et toujours.

 

Et puis, façon richouz' :

 

robe-chic.jpg

 

La robe moins pourrave. Réservée à la classe sup’. Toujours pareil. Moralité : rien n’a changé depuis la p’tite Maison dans la Prairie. Les riches ont toujours droit au must.

 

Heureusement, après t’être tapé toutes les saisons de cette saga, tu as appris que « Nellie est pauvre de cœur », et qu’elle aura beau avoir les plus beaux habits, elle n’en reste pas moins superficielle et sans saveur.

 

Garde tes robes toutes moches Laura, de toute façon, tu l’as quand même eu ton Almonzo. Eh ouais.

 

Leçon numéro 3 :

 

pantalon-bretelles.jpg

 

Le pantalon à bretelles. Pas très glamour, mais ne risque pas de tomber. Je pense qu’il devait tenir bien chaud. Mais bon, tous le portaient, même si c’est pas super beau.

 

Je crois pas qu’on puisse en trouver dans le commerce aujourd’hui.

 

Edit : en fait, si, mon ami gogol m’apprend qu’on en fait même pour femmes.

 

Faudra que j’aille voir à l’occasion si le chapeau s’est masculinisé aussi, tiens. Je rêverais de voir quelqu'un le porter. Genre Chandler dans un épidode de Friends, talaaaaa (ça lui va bien au teint non ?)

 

euh, j'te trouve pas la photo, je voulais te montrer. J'ai pas tapé les bons mots dans l'ami gogol.

 

Et le meilleur pour la fin : quand mes lectrices se transforment le temps de quelques instants en personnages fictifs, ça donne ça :

 

p'titem aison

 

Désolée, ca pixelise, je sais pas pourquoi, mais vous voyez l'idée ! On se croirait chez les Ingalls, non ?

 

Alors, pour mon premier article mode, ne sois pas trop pestouille et ne m'incendie pas (je recommencerais pas promis, tu comprends pourquoi...) 

 

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 20:50

voila, je t'avais dit que je tentais un concours de nouvelles ;) alors, j'ai écrit ce qui suit, et si tu aimes, tu peux me soutenir jusqu'au 10 Août en cliquant sur les plumes tout en bas de mon texte : plus tu mets de plumes, mieux c'est :)

 

Merci d'avance, voici l'histoire de ta blogueuse déjantée  et pour voter, c'est ici : http://www.aufeminin.com/ecrire-aufeminin/une-histoire-a-rebondissements-n77484.html (merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii)

 

La première fois que je l’ai vu, en l’an de grâce 1998, ça n’a pas été le coup de foudre. Pourtant, il était bel homme, mais un peu trop sportif, le genre à vous filer des complexes alors que vous faites votre jogging tous les dimanches matin.

 
Le sport, pour lui, c’est tous les jours, alors forcément je ne faisais pas le poids.
 
Pourtant, je me pensais sportive, ayant pratiqué de la course à pied pendant des années et ayant même gagné quelques trophées. J’allais vite me rendre compte que j’étais loin du compte face à un homme qui combinait entraînements de football, de tennis, et qui courait quasiment tous les jours. Bonjour les jolis abdominaux.
 
C’est vrai qu’il était plus vieux que moi. Pas le genre bedonnant-la-quarantaine, mais six ans de plus, ça compte un peu non, surtout que je n’avais que 17 ans et une furieuse envie de conquérir le monde masculin.
 
A l’époque, rien ne me résistait. Il faut dire que je mettais le paquet question tenues aguicheuses qui suggéraient mes formes encore sympathiques. Quand je regarde les photos de cette période, je me dis que vraiment, j’abusais. Je n’en étais quand même pas à porter des mini-jupes et des talons-aiguilles, mais mes tops moulants suggéraient un peu trop mes courbes. Treize ans après, quand je me remémore cette période, je me sens confuse.
 
Et pourtant, celui sur lequel j’avais jeté mon dévolu s’en fichait : à croire qu’il ne voyait pas mes fesses musclées. En fait, il préférait lorgner sur celles de ses consœurs tenniswomen, qu’il aimait regarder jouer. Enfin, c’est ce que je croyais. Je me trompais royalement, puisqu’il assistait aux matchs de ses consœurs par pur amour (du sport) et n’avait aucunement d’intention autre que celle de savourer un bon échange tennistique. (Je vous jure !).
 
Trop, c’était trop. La tornade que j’étais n’y a pas été par quatre chemins. Je lui ai demandé clairement pourquoi il regardait ces nanas, et pourquoi pas moi ?
 
Je vous laisse imaginer comment je me suis sentie penaude quand il m’a répondu qu’il admirait leur jeu de balles et non de jambes.
 
Aujourd’hui, quand j’y repense, j’ai honte. En attendant, si je n’avais pas fait ma diva, je serais sûrement encore célibataire à l’heure qu’il est et je n’aurais certainement pas deux beaux enfants.
 
Il faut savoir parfois bousculer l’ordre des choses, même quand il s’agit d’un mâle de soixante-dix kilos pas très ouvert quant aux signaux de séduction envoyés.
 
La première fois qu’il a compris qu’il m’intéressait, il a d’abord été surpris. Il était plutôt timide, et ne s’intéressait qu’à ses crampons et ses raquettes de tennis. Alors une nana un peu dynamique (bel euphémisme pour ne pas dire « fofolle ») qui ne le lâchait pas et commençait à venir le voir jouer au football, ça lui a mis la puce à l’oreille.
 
Et il a commencé à espérer. Et à se dire que la gamine était attachante, et peut être même plutôt mignonne.
 
Il se faisait chambrer par ses potes sportifs, qui le mettaient en garde s’il continuait à jouer les indifférents. Eux ne se gêneraient pas pour tenter leur chance. (Ben voyons).
 
Sauf que la gamine savait déjà ce qu’elle voulait. Et elle allait l’avoir.
Plus tard.
 
Parce qu’une fois le mignon sportif pris dans ses filets, il allait devoir attendre. C’était trop facile. Après tous les efforts que j’avais déployé pour le séduire, l’issue était trop rapide. Je voulais tester son amour.
 
L’été donc sera chaud. Interviennent alors les Hollandais qui ponctueront par la suite tous les discours de mon mâle lors de nos soirées entre amis. D’ailleurs, ne les évoquez jamais devant lui, il pourrait s’énerver en un dixième de seconde. Il n’en garde pas un très bon souvenir, il faut dire aussi qu’ils ne se sont pas gênés pour me draguer.
 
Et vous savez pourquoi ? Les Hollandaises sont blondes, teint de porcelaine, yeux bleus. Et mon petit mètre soixante deux (et demi), mes cheveux couleur corbeau et mes yeux marrons-verts, on dépote dans le paysage hollandais. Forcément.
 
Avec le recul, j’ai encore plus honte (le retour). Mais c’et vrai que sur le coup, c’était sympa de l’avoir gentiment torturé, et de lui avoir montré que tout n’est pas forcément acquis de suite.
 
Je sens que vous êtes intrigués :
 
1. Vous vous demandez si ceci est une histoire vraie. (Il faudra lire jusqu’à la fin, bande de petits curieux)
2. Vous vous demandez pourquoi ne pas avoir concrétisé l’histoire de suite par un baiser langoureux (c’est justement tout ce qui fait le charme de ce récit…)
3. Vous vous demandez si je suis folle (oui…Et alors ?)
 
On s’en tiendra là pour les questions indiscrètes ; à aucun moment de ce récit je n’évoquerai mon tour de poitrine au début de l’histoire et à la fin (car oui, il a changé entre temps, merci l’allaitement).
 
Des semaines ont passé, le jeu de l’amour et du hasard n’en finissait plus. Un coup, je te rencontre fortuitement, un coup je te lance de grands signaux charmeurs. Et au final : le sportif est perdu. Les règles de l’amour sont bien plus compliquées que celles du tennis. Même le résultat est le même : on compte les points pour savoir qui gagne.
 
Petit résumé donc : gamine espiègle : 1 – Sportif : 0
 
En hiver 1998, il décide de passer à l’offensive, un peu poussé par ses copains qui le charrient avec cette histoire. Il est gêné, il faut que la situation soit claire.
 
Il m’invite à regarder « Titanic », histoire d’amour censée entraîner d’autres romances  d’après ses copains qui ont surenchéri : « si tu conclus pas là-dessus, c’est foutu ».
 
J’ai du mal à imaginer la tête qu’ils ont du faire que mon sportif leur a annoncé qu’il avait fait chou blanc et que l’épave de sa tentative était à peu près au même endroit que celle du Titanic, à savoir dans un océan glacial, quelque part entre la banquise de la honte et celle du désespoir.
 
Gamine espiègle : 2 – Sportif : 0
 
De mon côté, je trouve que le jeu a assez duré, je le cherche dans les rues de mon quartier, ne sachant pas exactement où il habite, scrutant des heures durant tous les piétons rencontrés.
 
Rien. Le hasard n’est pas de mon côté.
 
Nous sommes fin Décembre, il y a douze ans. Le dénouement arrive, aussi rapide que le reste de l’histoire a été long.
 
Un baiser passionné dans une voiture qu’il vient d’acheter. En gros, quand il roulait dans sa caisse pourrie, rien ne s’était conclu et de suite avec sa nouvelle voiture, c’est l’amour fou (CQFD ?). Un private joke entre nous.
 
La première fois qu’il m’a présenté à sa famille, j’ai été sous le charme. Une mère bienveillante, un père juste et droit, des frères et sœurs accueillants, c’était comme dans un rêve même si mon sportif restait le point de mire, celui que je n’avais pas perdu depuis le début et pour lequel je m’étais tant battue.
 
La première fois que l’appel de la couette a été le plus fort…Vous n’en saurez rien. Non. Et puis, vous vous en fichez, j’espère que vous êtes tenus en haleine par le dénouement final, treize ans après ? Parce que sinon, je m’arrête là. Point barre et je termine mon histoire sur un gros point d’interrogation.
 
Les années passaient. L’envie d’un enfant grandissait. Surtout pour moi. Nous savons tous que les hommes sont rarement pressés de se mettre des responsabilités en culottes courtes sur le dos.
 
La première fois que j’ai compris que je portais notre enfant, j’ai réalisé la chance que j’avais d’avoir un homme extraordinaire pour m’épauler. Car j’allais en avoir besoin.
 
570 grammes, un retard de croissance très sévère, l’année 2006 voit naître le bébé le plus petit de Bordeaux, et c’est ma fille. Le discours des médecins est encourageant, bien qu’ils ne nous cachent à aucun moment la précarité de la situation de notre minuscule bébé.
 
Je crois que la force dégagée par un si petit être qui se bat tous les jours pour vivre, couplée à la volonté de mon conjoint de ne pas se laisser aller, m’ont permis d’avancer, et de croire en elle.
 
Un tel choc émotionnel où la peur de la perdre, la crainte des séquelles à venir et le décalage entre la réalité que j’avais fantasmée et l’enfant que je tenais dans mes bras aurait dû me laisser abattue.
 
Mais heureusement, la gamine espiègle avait déjà, par le passé, affronté des situations compliquées qui la dépassaient et la force qui s’était crée en elle a jailli au moment opportun.
 
Ma fille a aujourd’hui un petit frère, qui n’a pas connu la même naissance et qui se porte bien. Bien sûr, ma seconde grossesse fut loin d’être une partie de plaisir entre surveillance accrue et repos strict, la peur au ventre que le cauchemar de la grande prématurité ne recommence.
 
Mon conjoint m’a épaulée du mieux qu’il a pu même si je me sentais seule, allongée sur le côté gauche, à ne pas oser faire le moindre mouvement de peur de nuire à mon bébé.
 
Deux enfants magnifiques, un amour solide et endurci par les épreuves subies, il ne restait plus qu’à officialiser toute cette histoire.
 
La première fois que le mot « mariage » avait été prononcé, c’était des années auparavant, mais il n’en avait jamais été question réellement.
 
L’année 2010 allait être celle de la consécration de notre amour, après une longue vie commune et deux magnifiques enfants.
 
Le 17 Juillet 2010, je prononçais mes vœux pour la toute première fois, le cœur battant, avec la certitude que l’homme que j’épousais était quelqu’un de fantastique.
 
La gamine que j’étais avait vu clair plus de treize ans auparavant : loyal, franc, entier, généreux, mon mari me plaisait toujours autant, même si j’avais découvert au fil des années un caractère fort et une tendance à l’excessivité.
 
Cela dit, qui n’a pas de défauts ? Mon impatience, mon obstination et mon côté léger ricochaient sur lui, et il s’amusait de mes vices.
 
Restait le dernier challenge, et pas des moindres : l’épanouissement professionnel.
 
La première fois que j’ai évoqué mon projet le plus ambitieux, il a été un peu sceptique. Ecrire pour le web ? Une lubie qui paraît tirée par les cheveux. Et pourtant. Mon mari ne m’a jamais découragée, même s’il cherche à tempérer chaque jour la gamine espiègle qui sommeille encore et toujours en moi.
 
A force d’obstination, d’aide de la part d’amis, et d’encouragements de toutes sortes, mon projet a vu le jour récemment, et je me suis mise à mon compte. Je rédige dorénavant des articles pour les professionnels du Web. Et j’adore ça !
 
On peut donc penser à une happy end à toute cette histoire, même si elle est, en réalité, encore plus compliquée que cela, d’autres évènements étant venus interférer.
 
Arrive le moment de connaître la vérité : histoire vraie ou montée de toutes pièces ?
 
Je vais être franche, je n’ai menti à aucun moment. J’ai donc eu honte plusieurs fois en repensant à mes folles années de bimbo insouciante. Je ne porte évidemment plus de top moulant, il ne vaut mieux pas d’ailleurs, le spectacle était totalement différent de celui qu’offraient mes dix-sept ans.
 
Il me reste une question à vous poser : est-ce que vous avez tout compris de cette histoire à rebondissements ?
 
Si ce n’est pas le cas, rassurez-vous, c'est toujours comme ça la première fois…

 

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10 juillet 2011 7 10 /07 /juillet /2011 19:39

Attends, je te donne un indice :

 

accro

 

Là, logiquement, tu flippes car tu te rappelles mon super concours Marathon de chez Robeez, 3 mois à cliquer comme une tarée pour faire gagner une paire de godasses à ma naine. Ok, c'était une marque que j'affectionne (encore heureux) mais quand même.

 

3 mois à te harceler, à te dire de cliquer jusqu'à ce que mort  s'ensuive et toi, super sympa, ben...tu cliquais jusqu'à épuisement voire même tu ramenais tes copines folles du clavier pour venir renforcer l'équipe pro-Alexandra.

 

Je ne veux pas te faire peur, mais je tente un nouveau concours, je devrais logiquement avoir bientôt mon texte en ligne, car oui, je tente un concours d'écriture (au moins, là, j'ai produit quelquechose).

 

Je t'appâte en te disant que c'est un condensé de mon histoire d'amuuuuuuur avec mon mari, je ne te dirai pas si ce que j'ai écrit est vrai ou faux (suspense oblige) mais je compte sur toi pour faire travailler tous tes petits doigts pour me soutenir, parce que ça serait cool d'avoir une visibilité en étant dans les textes du haut.

 

Attention, vu ma prose anti Prix Goncourt, c'est (très) loin d'être gagné. C'est un peu comme si Star Wars gagnait le prix du fim d'auteur. C'est dire.

 

Mais sache que je te remercie d'avance, et cela, même si ça te fait une belle jambe. Car oui, disons le franchement, tu t'en tapes de mon concours. Qu'est-ce que tu as à y gagner ?!

 

Franchement rien. L'estime de ta rédactrice déjantée. Attend, c'est énorme, non ? (Qui vient de soupirer devant son ordi ?!!)

 

En plus, c'est un texte inédit proposé pour le concours (encore heureux), alors tu peux y gagner quelques minutes de gymnastique faciale et te demander pendant plusieurs minutes si toute ce que je raconte est vrai.

 

Vendu comme ça, tu n'es pas très enthousiaste, je parie. Mince.

 

Va falloir que je frappe un grand coup en proposant quelquechose de plus alléchant.

 

Mais ne compte pas voir des parties indécentes de mon corps de mère de nains. Eh non.

 

Bon, je te donnerai le lien à suivre en temps utile. Tu cliqueras pas vrai ?!

 

 

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 19:43

Ca en jette comme titre non ?! Ou plutôt, ça donne pas envie de lire...

 

Allez mise en situation : 

 

string-

 

Euh, non, en fait aucun rapport, j'ai retouvé ce vieux doss', un article qui t'avait bien plus, à toi lectrice des débuts de ce blog, le voici au passage si tu l'as raté, toi, nouvelle lectrice :

 

String versus culotte de grand-mère

 

Un grand moment de vantage de ma copine la moule et de sa belle gambette (quand je dis que je pourrais me reconvertir en agence matrimoniale...) face au rhino et son string. Le pauvre. Quand je vois ça, je dis que quand même faut appeler la SPA et surtout une question cruciale : qui a osé lui mettre ? et comment ? Parce que faire lever la jambe à un mastodonte de cette taille, et courir en plus le risque qu'il vous chie (et / ou pète) dessus, quand même, tout ça pour un string...

 

Bon, ce n'est pas le sujet du jour. Si ça t'intéresse, tu n'as qu'à cliquer sur le lien ci-dessus.

 

Donc, à l'ordre du jour, un sujet dont je ne suis pas fière mais qui ne vient pas de mon esprit de faignasse, donc (logique) puisqu'il fait la grève quant aux thèmes à aborder.

 

C'est aussi pour cette raison que depuis le début, je carbure à Engrange du gland, ça faisait longtemps ! Femme fontaine versus chaussures bizarres, je me tate ou encore En avant, couche propre!

 

Tous des sujets donnés par toi, lectrice un peu délurée. Je t'invite à aller lire ses petits articles au passage; ils sont issus des débuts de mon blog, tu les as peut être ratés et ce serait dommage, car crois-moi, y'a du lourd.

 

J'ai même un peu honte mais comme je passe mon temps à me payer la honte, à force, je suis habituée et je te propose des articles de plus en plus douteux quant à leur contenu. Mais tu en redemandes n'est-ce pas ?! (allez, dis oui, steplééééééééé)

 

Parce qu'après tout, faignasse un jour, faignasse toujours. Ca n'a rien à voir, je sais. C'était pour coller au sujet, et tu remarques qu'en fait, j'ai plus parlé d'autre chose que de mon penchant à te faire réfléchir à ma place; en gros, j'assume pas mon esprit paresseux.

 

Pire, je te fais croire qu'il est actif en t'embrouillant (ni vu, ni connu) avec de vieux sujets poussiéreux, à l'époque où je n'étais pas encore débordée de boulot et capable de connecter mes neurones à peu près en même temps.

 

L'arrivée du nain numéro 2 a tout dévasté. Mon périnée (j'en parle plus d'ailleurs, un vrai champ de ruine), mon cerveau (mon...quoi ?!!!) et mon ventre, dont j'étais plutôt fière, et qui ressemble aujourd'hui à une montgolfière à moitié crevée aux contours inégaux.

 

Tu remarques que je raconte n'importe quoi pour noyer le poisson (et ma honte) d'être une grosse faignasse et de me reposer sur mes lauriers, pendant que tu te creuses la cervelle pour me fournir le nectar de ton génie, à savoir un sujet pour mon article.

 

Alors merci.

 

Pense à me dire si tu aimes le rhinocéros en string, et si tu as de la peine pour lui, parce que, le pauvre, il doit souffir quand même. (En même temps, un seul pet et le string vole en éclat, ça doit dégazer dur un mastodonte pareil...)

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