Nouvellement arrivé dans mes contacts, Stéphane B. a fait une entrée fracassante en me laissant ce gentil mot sur mon mur (je te cite, Stéphane, tu permets) :
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Nouvellement arrivé dans mes contacts, Stéphane B. a fait une entrée fracassante en me laissant ce gentil mot sur mon mur (je te cite, Stéphane, tu permets) :
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Comme d’habitude, je t’ai sollicité pour que tu m’aides à trouver un sujet et tu as assuré. Ton esprit est très productif, je trouve, c’est très rassurant, car je sais que je peux compter sur toi en cas de gros coup de pompe de ma part, surtout si mon cerveau se met à pisser de traviole.
Entre parenthèses, c’est déjà le cas. Il se vide de toute les âneries qu’il a amassées depuis des années pour t’offrir un concentré de niaiseries, assaisonnées à la va-vite et saupoudrées de gros sel superficiel. Tu aimes ma tambouille ? Parce que c’est cadeau pour toi. Et rassure toi, même si mes mots s’entrechoquent de manière indélicate, je ne compte pas changer de fonctionnement, à savoir : y’a pas de méthode.
J’écris comme dans un rêve hallucinogène où différentes scènes sans aucun rapport défileraient, je tisse des liens là où il n’en a pas ; du coup, ça dérange. Ce n’est pas très académique, et sûrement pas défendable littérairement parlant. Appelons un chat, un chat : c’est de la daube réchauffée et resservie de manière déstructurée.
Et alors ?!
Tu crois que la Petite Maison dans la Prairie, c’était cohérent ? Bon, ok, très (très) mauvaise transition. J'pourrais mieux amener le sujet. Je te jure, je pourrais.
Je sais pas si tu as remarqué, je parle pas Mode sur mon blog. Ni politique. Ni actualités. Bref, j’évite soigneusement les sujets compliqués pour mon cerveau tire-au-flanc.
Mais quand même. Une petite leçon de mode made in la p’tite Maison, ça te plairait pas ? Parce que crois-moi, il y a à dire. Te moque pas, hein ? Je sais, tu t’attendais à un autre style de débat que « le chapeau de Caroline Ingalls était-il in » ? (Pour l’époque, hein) mais désolée va falloir faire avec parce que c’est le sujet proposé suite au brainstorming. Fais toi entendre la prochaine fois et propose les fesses de Yohann Gourcuff comme sujet (n’est pas La Bounette ?)
Bref, leçon numéro 1 :
Le chapeau moyenâgeux. Attends, on se moque pas. Dans la Prairie, le soleil était caniculaire et autant te dire qu’il n’y avait pas de crème indice 5O à cette époque. Autant protéger sa tête, son cou, et tout ce qu’il était possible d’épargner. (Et puis la tronche de Caroline Ingalls façon homard trop cuit, ça l’aurait pas fait).
Tu remarques que toutes les filles de la série se sont tapées ce bonheur immense de porter ce superbe chapeau (surtout Carrie Ingalls), pendant que les mâles échappaient au supplice.
Leçon numéro 2 :
La robe pourrave. Tu la vois, là, au premier plan sur Laura.
J’suis une vraie peste. Pire que la Nellie Oleson, tiens. Mais quand même. Où était le styliste de la série ?! Faut pas pousser. Une simple robe revêtue d’un tablier pour pas la salir, c’est un peu léger. En même temps, c’est l’époque. Encore et toujours.
Et puis, façon richouz' :
La robe moins pourrave. Réservée à la classe sup’. Toujours pareil. Moralité : rien n’a changé depuis la p’tite Maison dans la Prairie. Les riches ont toujours droit au must.
Heureusement, après t’être tapé toutes les saisons de cette saga, tu as appris que « Nellie est pauvre de cœur », et qu’elle aura beau avoir les plus beaux habits, elle n’en reste pas moins superficielle et sans saveur.
Garde tes robes toutes moches Laura, de toute façon, tu l’as quand même eu ton Almonzo. Eh ouais.
Leçon numéro 3 :
Le pantalon à bretelles. Pas très glamour, mais ne risque pas de tomber. Je pense qu’il devait tenir bien chaud. Mais bon, tous le portaient, même si c’est pas super beau.
Je crois pas qu’on puisse en trouver dans le commerce aujourd’hui.
Edit : en fait, si, mon ami gogol m’apprend qu’on en fait même pour femmes.
Faudra que j’aille voir à l’occasion si le chapeau s’est masculinisé aussi, tiens. Je rêverais de voir quelqu'un le porter. Genre Chandler dans un épidode de Friends, talaaaaa (ça lui va bien au teint non ?)
euh, j'te trouve pas la photo, je voulais te montrer. J'ai pas tapé les bons mots dans l'ami gogol.
Et le meilleur pour la fin : quand mes lectrices se transforment le temps de quelques instants en personnages fictifs, ça donne ça :
Désolée, ca pixelise, je sais pas pourquoi, mais vous voyez l'idée ! On se croirait chez les Ingalls, non ?
Alors, pour mon premier article mode, ne sois pas trop pestouille et ne m'incendie pas (je recommencerais pas promis, tu comprends pourquoi...)
Tu es là sans être là. Tu n’as peut être même pas conscience que je suis ta maman, que je t’ai porté pendant neuf mois, que je t’ai aimé dès le premier instant.
Aucun diagnostic n’a été posé. Tu es dans ton monde, tu ne m’entends pas, ne me comprends pas, mais un seul de tes sourires fait voler en mille éclats la bulle qui nous sépare.
Les autres te regardent, ils ne comprennent pas. Le handicap ne s’est pas immiscé dans leur vie, ils refusent même certainement de l’appréhender, et te voient comme une bête de foire.
Je suis ta maman, je vois leurs regards se détourner comme si tu n’existais pas, et cela me fait mal. Tu ne t’en rends pas compte, alors je souris comme si de rien n’était, je te fais croire à un monde idyllique où tout un chacun se préoccupe de l’autre et l’aide à surmonter ses problèmes.
Dans la réalité, je ne vois que des regards indifférents, mais pas une once d’empathie. Le soir quand je m’endors, il m’arrive de me demander ce que j’ai fait de mal, et pourquoi je dois inlassablement gérer l’ingérable sans aucun répit.
Personne ne veut te garder. Les vacances, je ne sais même plus ce que c’est depuis que tu es né. Je suis comme une machine qui tourne à vide, en essayant de ne pas penser à demain, ou si j’y songe, à me forcer de croire que ce sera un jour meilleur.
Mais tu ne m’entendras toujours pas. Tu ne seras probablement jamais invité à un goûter d’anniversaire, et ton lourd fauteuil mettra toujours une barrière entre toi et le reste du monde.
Je me plais à croire que je suis pessimiste, et que le mal qui te ronge s’estompera un jour.
Peut-être même que tu m’appelleras « maman » et que tu me réconforteras dans mes moments de faiblesse.
Mais pour tes cinq ans, tu n’as pas soufflé de bougies, et tu n’as pas voulu goûter ton gâteau, que j’avais spécialement préparé pour toi. Mes efforts ne sont pas perçus, et pourtant, je continue à fêter le temps qui passe, en espérant qu’il viendra apporter une explication à ton problème.
Quelque soit le handicap de votre enfant, pour toutes mes amies, mais aussi pour celles que je ne connais pas, sachez que votre lutte pour le voir grandir et s’épanouir normalement est des plus admirables.
Des moments de doute, vous en avez et en aurez. Du découragement, de la colère, aussi. Je n’ai pas de solution miracle à apporter, juste ces quelques lignes pour vous toutes qui êtes si courageuses, et méritez bien une petite mise en lumière, dans un monde où aider son prochain n’a plus aucun sens.
voila, je t'avais dit que je tentais un concours de nouvelles ;) alors, j'ai écrit ce qui suit, et si tu aimes, tu peux me soutenir jusqu'au 10 Août en cliquant sur les plumes tout en bas de mon texte : plus tu mets de plumes, mieux c'est :)
Merci d'avance, voici l'histoire de ta blogueuse déjantée et pour voter, c'est ici : http://www.aufeminin.com/ecrire-aufeminin/une-histoire-a-rebondissements-n77484.html (merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii)
La première fois que je l’ai vu, en l’an de grâce 1998, ça n’a pas été le coup de foudre. Pourtant, il était bel homme, mais un peu trop sportif, le genre à vous filer des complexes alors que vous faites votre jogging tous les dimanches matin.
Attends, je te donne un indice :
Là, logiquement, tu flippes car tu te rappelles mon super concours Marathon de chez Robeez, 3 mois à cliquer comme une tarée pour faire gagner une paire de godasses à ma naine. Ok, c'était une marque que j'affectionne (encore heureux) mais quand même.
3 mois à te harceler, à te dire de cliquer jusqu'à ce que mort s'ensuive et toi, super sympa, ben...tu cliquais jusqu'à épuisement voire même tu ramenais tes copines folles du clavier pour venir renforcer l'équipe pro-Alexandra.
Je ne veux pas te faire peur, mais je tente un nouveau concours, je devrais logiquement avoir bientôt mon texte en ligne, car oui, je tente un concours d'écriture (au moins, là, j'ai produit quelquechose).
Je t'appâte en te disant que c'est un condensé de mon histoire d'amuuuuuuur avec mon mari, je ne te dirai pas si ce que j'ai écrit est vrai ou faux (suspense oblige) mais je compte sur toi pour faire travailler tous tes petits doigts pour me soutenir, parce que ça serait cool d'avoir une visibilité en étant dans les textes du haut.
Attention, vu ma prose anti Prix Goncourt, c'est (très) loin d'être gagné. C'est un peu comme si Star Wars gagnait le prix du fim d'auteur. C'est dire.
Mais sache que je te remercie d'avance, et cela, même si ça te fait une belle jambe. Car oui, disons le franchement, tu t'en tapes de mon concours. Qu'est-ce que tu as à y gagner ?!
Franchement rien. L'estime de ta rédactrice déjantée. Attend, c'est énorme, non ? (Qui vient de soupirer devant son ordi ?!!)
En plus, c'est un texte inédit proposé pour le concours (encore heureux), alors tu peux y gagner quelques minutes de gymnastique faciale et te demander pendant plusieurs minutes si toute ce que je raconte est vrai.
Vendu comme ça, tu n'es pas très enthousiaste, je parie. Mince.
Va falloir que je frappe un grand coup en proposant quelquechose de plus alléchant.
Mais ne compte pas voir des parties indécentes de mon corps de mère de nains. Eh non.
Bon, je te donnerai le lien à suivre en temps utile. Tu cliqueras pas vrai ?!
Ca en jette comme titre non ?! Ou plutôt, ça donne pas envie de lire...
Allez mise en situation :
Euh, non, en fait aucun rapport, j'ai retouvé ce vieux doss', un article qui t'avait bien plus, à toi lectrice des débuts de ce blog, le voici au passage si tu l'as raté, toi, nouvelle lectrice :
String versus culotte de grand-mère
Un grand moment de vantage de ma copine la moule et de sa belle gambette (quand je dis que je pourrais me reconvertir en agence matrimoniale...) face au rhino et son string. Le pauvre. Quand je vois ça, je dis que quand même faut appeler la SPA et surtout une question cruciale : qui a osé lui mettre ? et comment ? Parce que faire lever la jambe à un mastodonte de cette taille, et courir en plus le risque qu'il vous chie (et / ou pète) dessus, quand même, tout ça pour un string...
Bon, ce n'est pas le sujet du jour. Si ça t'intéresse, tu n'as qu'à cliquer sur le lien ci-dessus.
Donc, à l'ordre du jour, un sujet dont je ne suis pas fière mais qui ne vient pas de mon esprit de faignasse, donc (logique) puisqu'il fait la grève quant aux thèmes à aborder.
C'est aussi pour cette raison que depuis le début, je carbure à Engrange du gland, ça faisait longtemps ! Femme fontaine versus chaussures bizarres, je me tate ou encore En avant, couche propre!
Tous des sujets donnés par toi, lectrice un peu délurée. Je t'invite à aller lire ses petits articles au passage; ils sont issus des débuts de mon blog, tu les as peut être ratés et ce serait dommage, car crois-moi, y'a du lourd.
J'ai même un peu honte mais comme je passe mon temps à me payer la honte, à force, je suis habituée et je te propose des articles de plus en plus douteux quant à leur contenu. Mais tu en redemandes n'est-ce pas ?! (allez, dis oui, steplééééééééé)
Parce qu'après tout, faignasse un jour, faignasse toujours. Ca n'a rien à voir, je sais. C'était pour coller au sujet, et tu remarques qu'en fait, j'ai plus parlé d'autre chose que de mon penchant à te faire réfléchir à ma place; en gros, j'assume pas mon esprit paresseux.
Pire, je te fais croire qu'il est actif en t'embrouillant (ni vu, ni connu) avec de vieux sujets poussiéreux, à l'époque où je n'étais pas encore débordée de boulot et capable de connecter mes neurones à peu près en même temps.
L'arrivée du nain numéro 2 a tout dévasté. Mon périnée (j'en parle plus d'ailleurs, un vrai champ de ruine), mon cerveau (mon...quoi ?!!!) et mon ventre, dont j'étais plutôt fière, et qui ressemble aujourd'hui à une montgolfière à moitié crevée aux contours inégaux.
Tu remarques que je raconte n'importe quoi pour noyer le poisson (et ma honte) d'être une grosse faignasse et de me reposer sur mes lauriers, pendant que tu te creuses la cervelle pour me fournir le nectar de ton génie, à savoir un sujet pour mon article.
Alors merci.
Pense à me dire si tu aimes le rhinocéros en string, et si tu as de la peine pour lui, parce que, le pauvre, il doit souffir quand même. (En même temps, un seul pet et le string vole en éclat, ça doit dégazer dur un mastodonte pareil...)
Au cœur même de la ville de Bordeaux, dans une petite rue commerçante, il est une boutique qu’il ne faut pas négliger, parce que contrairement à la concurrence, elle est authentique. Aussi entière que sa gérante, qui se donne chaque jour du mal pour trouver des articles uniques et originaux.
Je profite donc de ma fenêtre virtuelle pour exposer ma trouvaille, et la décorer de fleurs aux senteurs exotiques : la boutique « Garence ».
Rien que sa localisation en dit long sur l’essence même de sa création : une petite rue, où les Bordelais aiment se promener. Un endroit rempli de charme, loin des boutiques aux habits uniformes, dans des rues sans esprit.
Garence a toujours voulu privilégier l’authenticité. La collection de cette boutique est sincère et conçue en petite quantité.
Avec Garence, vous avez la certitude que les vêtements que vous portez demeurent des pièces de collection, introuvables dans les grandes enseignes. Un excellent moyen de vous démarquer intelligemment en arborant fièrement des accessoires ou des habits avec une saveur particulière, celle de la singularité.
Pour avoir visité personnellement ce commerce, je peux vous assurer que les prix sont très démocratiques. En effet, dans les esprits, tout ce qui est authentique est forcément inabordable dans un budget de mère de famille dévouée.
Chez Garence, ce n’est pas le cas ; vous êtes donc en présence d’un commerce à la fois original et démocratique, pourquoi ne pas aller le visiter ?
Vous tomberez sous le charme et serez conseillée au mieux par Dominique, la gérante, qui dirige sa boutique d’une main de maître et vous assure un accueil chaleureux.
Il ne vous reste plus qu’à vous rendre 59 rue de Remparts, à Bordeaux, une petite rue proche de la Cathédrale Pey Berland, je serai ravie d’obtenir vos avis sur la perle que j’ai découverte, grâce à une amie.
Vous pouvez également composer le 09 51 45 53 54 pour toute question. Dominique vous attend.
Tout d'abord mise en situation pour expliquer ce titre un peu space :
Est ce que tu vois où je veux en venir ? Genre cliqueuse folle amatrice de concours en tous genres, ou forum-addict qui a besoin de savoir si le caca du fils de sa cyber copine est redevenu normal, ou encore amatrice de blogs à l'humour débilos qui a besoin de sa dose régulière...
Si tu fais partie d'une de ces catégories, cet article t'est dédié, car je suis certaine que le mâle t'a déjà hurlé cette phrase ô combien romantique : " pose ton ordi ou je le jette par la fenêtre !"
Et là, tu as beau prétexter que oui les problèmes de constipation de ton filleuil virtuel sont importants, oui le concours qui se finit demain est capital et oui tu veux parcourir le blog de ta cops qui te fait oublier tes tracas...
Le mâle n'en a rien à secouer...Il menace de jeter ton Précieux ordi à côté de la sapinette qui pousse tout doucement sous tes fenêtres, trois étages plus bas, et inutile de te dire qu'il n'y survivra pas. Saleté de concepteurs qui n'ont pas prévu les problèmes de ce genre.
D'ailleurs, pourquoi ne pas faire signer une pétition en ligne ?! Sauvons nos Précieux des griffes acérées de nos mâles, et protégeons-les contre les attaques machiavéliques à coup de coca (ça doit faire mal, ça, sur un clavier) ou de marteau ou de je ne sais quoi d'autre d'ailleurs.
Car oui, ton mâle n'aime pas ce qui se trame. Il a peut être même du mal à te croire quand tu lui parles des problèmes de couches des gosses de tes cyber copines. Pour lui, c'est une phrase codée pour dire : " je flirte sur Meetic"; alors que pas du tout. Tu te soucies vraiment des problèmes intestinaux de ton filleuil virtuel. Eh oui. Mais ça, le mâle, il comprend pas...
Par contre, ses parties de poker pendant plus de trois heures où tu as pas le droit de lui adresser la parole, ça, c'est normal, hein ? Pas de discussion personnelles, pas d'échanges réels, juste des cartes et des jetons. Tu kiffes pas, pas vrai ?
Propose de passer son ordi par la fenêtre à la prochaine partie de poker en ligne, tu as la garantie de pouvoir discuter avec tes copinautes toute la soirée.
Ok, c'est vrai que tu y vas un peu fort ces derniers temps : forums, concours, lecture de tes sites web préférés et un petit extra avec un craquage sur ton e-commerce de prédilection. Ok, la CB a chauffé sur internet.
Un conseil : laisse le jouer en ligne quelques heures histoire d'éviter une grosse enguelade. C'est du donnant-donnant avec Internet, il faut que ça aille dans les deux sens.
Et puis, réserve un petit restau, fais garder les nains et passe une soirée avec ton Précieux mari, juste pour lui montrer que non, tu ne le trompes pas avec ton ordi, c'est juste que tu es entrée dans un système qui crée une petite addiction mais que tant que ta pile de repassage ne devient pas le mont Kilimanjaro, tu as le droit d'avoir ta cyber dose.
Maintenant, je serai curieuse de savoir si tu as déjà entendu cette phrase : "pose cet ordi ou je le défenestre !", donc, fais péter ton comm'
J’suis nulle pour trouver des sujets…
Bon, c’est pas nouveau, je suis une quiche en cuisine (on le saura), en dessin, en Maths mais surtout, je suis incapable de trouver un sujet toute seule.
Et pour preuve, ça fait quinze minutes que je fixe bêtement ma page Word sans rien écrire, car forcément, je n’ai pas de fil conducteur.
En même temps, vu comment je divague sur les sujets que tu me proposes, je me dis que c’est comme d’hab’, quoi, à la bonne franquette, un concentrée de saucisses frites bien familières, qui dégoulinent un peu partout sur les doigts.
Sinon, tu vas bien ? Parce que je parle beaucoup de moi, de mon projet, de mon auto-entreprise, de mes clients, MOI, MOI, MOI…Mais et toi dans tout ça ?
Tu me lis, imperturbable, tu votes, tu cliques, tu commentes, tu partages, t’es toujours là quoi. Alors, pour ceci, je te dis merci et promis, je ne ferai pas dans la guimauve cette fois-ci (pas envie que le comité anti-cirage de pompes ne me dénonce).
J’suis comme ça, je dis ce qui me passe par la tête et crois moi, ça m’a valu des problèmes, mais c’est toujours sincère (et c’est bien ça le souci).
Bref, tu vois, si tu ne me coupes pas, je recommence avec mon égo qui éclipse la feuille blanche, il faut me faire taire, dégainer ta camisole de force virtuelle et me la passer le long du corps pour que j’arrête de parler de moi.
Je sais que tu es patiente, et ce que tu veux, c’est te détendre. Tu as même sûrement une bonne blague à me raconter ?! Parce que je te préviens, je suis nulle en blagounette, je suis toujours prise au dépourvu quand on me demande d’en raconter une, un vrai boulet…
J’aimerais aussi savoir si tu aimes le couscous, et le parmesan ? Si tu ne rates aucun épisode de Desperate Housewife ? Si tu es plutôt Brad ou Georges ? ou Angelina d’ailleurs ?
Je ne sais rien de toi, c’est la loose après plus de six mois à écrire sur mon blog des futilités….Je veux du concret (et de la joie, de la bonne humeur)
Et puis tu sais quoi ? T’es bien sympa quand même à me réserver un p’tit créneau le soir, après ton repassage (n’est-ce pas Hélène A. ?) et à me bichonner à coup de commentaires enjoliveurs (n’est-ce pas Fany V. ?)
Alors, maintenant, j’attends de tes news, viens me raconter tes petits secrets…Et rassure-toi, je ne les raconterai pas dans ma prochaine chronique (quoique…)
Aussi léger qu’une plume, invisible mais pourtant crucial, le souffle, c’est la vie.
Jeunesse insouciante, bulles qui s’envolent vers un avenir incertain, éclats de rires qui résonnent encore et encore faisant fi de la réalité.
Une vie pavée d’obstacles, où médecins et spécialistes se relaient pour maintenir le souffle.
Bulles d’amour aux contours réguliers, la douceur du foyer apporte l’équilibre nécessaire pour avancer.
Envie de rebondir, de se laisser aller au gré du vent, désir d’escapade lointaine, respirer.
Bulles brisées par un destin tragique, injuste et froid, mais nous continuons à penser à toi, la plus courageuse des princesses du souffle. Notre Albane.
Ayons une pensée pour tous ceux, qui, comme Albane en ce moment même, se battent contre cette fichue maladie.
Envie de dynamiser votre e-commerce ? De donner du pep’s à votre blog ? D’enrichir la ligne éditoriale de votre webzine ?
Si vous avez répondu « oui » à l’une de ces questions, vous avez besoin de moi. Rédactrice web, je rédige vos textes pour donner envie à l’internaute d’en savoir plus.
Ma méthode : faire sourire. Parce que c’est en attisant la curiosité que l’internaute dépassera la troisième ligne de texte.
Osez l’originalité. Je m’occupe du reste.
Statut auto entrepreneur depuis Avril 2011, je suis à votre disposition pour parler de vos envies, vos besoins, votre but.
N'hésitez pas à me contacter.
Alexandra Le Dauphin-Tressos
Mon site internet : www.droledeplume.fr
Petit à petit, l'oiseau fait son nid. Ta blogueuse tisse des contacts et noue des relations privilégiées avec certains acteurs du paysage web.
Merci à ceux qui me font confiance et m'ont confié la rédaction de textes pour leur business comme :
Camily's, boutique belge de ventes de vêtements pour les 0 / 14 ans de grandes marques à prix mini :
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Allo Baby Planner, spécialiste de la puériculture, aide aux parents : (rédaction de la page d'accueil)
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Partenaire WebMarketing, votre coach stratégie sur Internet : (rédaction de la page d'accueil)
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Mon partenaire webmaster, Anthony de Sitinweb :
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Sacrés Mômes, un blog drôlement chouette où j'interviendrai régulièrement, merci à Cécile de sa confiance :
http://www.sacres-momes.com/blog/
Princesse Wanda, artiste de génie du relooking de meubles anciens :
Un amour de petite chose, boutique de créations uniques pour femmes, enfants :
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