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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 15:33

Nouvellement arrivé dans mes contacts, Stéphane B. a fait une entrée fracassante en me laissant ce gentil mot sur mon mur (je te cite, Stéphane, tu permets) :

 

 "Voilà. Moi qui suis un mec, avec tous les défauts que les nanas nous reconnaissent, je me suis littéralemement bidonné en lisant les chroniques d'Alexandra. Ca décape, ca ferraille, ca défouraille dans tous les coins, mais c'est fabuleux".

 

Mon style défouraille (en plus de pisser de la ligne). Déjà, j'ai demandé à l'ami gogol ce que voulait dire ce terme, encore un truc que je connais pas. Bravo la rédactrice.

 

Et devine quoi ? L'ami gogol m'amène sur le dico de la Zone...Bravo Stéphane, un terme de la cité ? Mince, pourtant, j'ai grandi près d'une cité, je connaissais tout ça...J'ai dû louper quelquechose là.

 

En même temps, je me dis que d'une cité à l'autre, d'une ville à l'autre, les termes doivent changer.

 

Bref, le dico nous apprend que ça veut dire "sortir une arme à feu" et l'ami Stomy se met en situation pour illustrer ce joli mot (comme Eric et Ramzy, mais avec l'air caillera en plus) :

 

"Entourés de béton armé sur le bitume | De bebon lacrimo y a pas beaucoup de pepon | Ni de pythons beaucoup de pits donc sont contents | Les canards quand ça défouraille comme dans | Heat pour des biftons ou de la coke » (Stomy Bugsy).

 

La vache. Quand même.

 

Attends, pire encore. Victor Hugo aussi était une caillera. J'te jure, regarde ce que j'ai trouvé, écrit par lui :

 

Ma largue part pour Versailles,
Lirlonfa malurette,
Aux pieds d'Sa Majesté ,
Lirlonfa maluré ;
Elle lui fonce un babillard ;
Pour m'faire défourailler,
tirlonfa maluré.
Pour m'faire défourailler,…

 

(finalement, j'préfère Stomy, c'est plus parlant)

 

Tout ça pour dire : merci Stéphane. Grâce à toi, le niveau de mon blog s'est élevé d'un cran. Stomy et Victor sur le même article, tu imagines ?! Et avec un vocabulaire en commun. Sacré Victor, il cachait bien son jeu quand même...

 

Après "pisser de la ligne" (si tu as raté ce grand moment de critique littéraire, c'est ici :Un style de pigiste débutante pissant de la ligne. ), je suis fière de défourailler.

 

Merci Stéphane de l'avoir dit haut et fort.

 

Ps : pour toi qui penses aussi que mon style dépote, tu peux le dire, je dois encore laver l'affront de miss "tu-pisses-de-la-ligne", va falloir du compliment pour me sortir ça de ma (grosse) tête.

 

 

 

 

 

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 20:05

Comme d’habitude, je t’ai sollicité pour que tu m’aides à trouver un sujet et tu as assuré. Ton esprit est très productif, je trouve, c’est très rassurant, car je sais que je peux compter sur toi en cas de gros coup de pompe de ma part, surtout si mon cerveau se met à pisser de traviole. 

 

Entre parenthèses, c’est déjà le cas. Il se vide de toute les âneries qu’il a amassées depuis des années pour t’offrir un concentré de niaiseries, assaisonnées à la va-vite et saupoudrées de gros sel superficiel. Tu aimes ma tambouille ? Parce que c’est cadeau pour toi. Et rassure toi, même si mes mots s’entrechoquent de manière indélicate, je ne compte pas changer de fonctionnement, à savoir : y’a pas de méthode.

 

J’écris comme dans un rêve hallucinogène où différentes scènes sans aucun rapport défileraient, je tisse des liens là où il n’en a pas ; du coup, ça dérange. Ce n’est pas très académique, et sûrement pas défendable littérairement parlant. Appelons un chat, un chat : c’est de la daube réchauffée et resservie de manière déstructurée.

 

Et alors ?!

 

Tu crois que la Petite Maison dans la Prairie, c’était cohérent ? Bon, ok, très (très) mauvaise transition. J'pourrais mieux amener le sujet. Je te jure, je pourrais.

 

Je sais pas si tu as remarqué, je parle pas Mode sur mon blog. Ni politique. Ni actualités. Bref, j’évite soigneusement les sujets compliqués pour mon cerveau tire-au-flanc.

 

Mais quand même. Une petite leçon de mode made in la p’tite Maison, ça te plairait pas ? Parce que crois-moi, il y a à dire. Te moque pas, hein ? Je sais, tu t’attendais à un autre style de débat que « le chapeau de Caroline Ingalls était-il in » ? (Pour l’époque, hein) mais désolée va falloir faire avec parce que c’est le sujet proposé suite au brainstorming. Fais toi entendre la prochaine fois et propose les fesses de Yohann Gourcuff comme sujet (n’est pas La Bounette ?)

 

Bref, leçon numéro 1 :

 

chapeau.jpg

 

Le chapeau moyenâgeux. Attends, on se moque pas. Dans la Prairie, le soleil était caniculaire et autant te dire qu’il n’y avait pas de crème indice 5O à cette époque. Autant protéger sa tête, son cou, et tout ce qu’il était possible d’épargner. (Et puis la tronche de Caroline Ingalls façon homard trop cuit, ça l’aurait pas fait).

 

Tu remarques que toutes les filles de la série se sont tapées ce bonheur immense de porter ce superbe chapeau (surtout Carrie Ingalls), pendant que les mâles échappaient au supplice.

 

Leçon numéro 2 :

 

robe-pour.jpg

 

La robe pourrave. Tu la vois, là, au premier plan sur Laura.

 

J’suis une vraie peste. Pire que la Nellie Oleson, tiens. Mais quand même. Où était le styliste de la série ?! Faut pas pousser. Une simple robe revêtue d’un tablier pour pas la salir, c’est un peu léger. En même temps, c’est l’époque. Encore et toujours.

 

Et puis, façon richouz' :

 

robe-chic.jpg

 

La robe moins pourrave. Réservée à la classe sup’. Toujours pareil. Moralité : rien n’a changé depuis la p’tite Maison dans la Prairie. Les riches ont toujours droit au must.

 

Heureusement, après t’être tapé toutes les saisons de cette saga, tu as appris que « Nellie est pauvre de cœur », et qu’elle aura beau avoir les plus beaux habits, elle n’en reste pas moins superficielle et sans saveur.

 

Garde tes robes toutes moches Laura, de toute façon, tu l’as quand même eu ton Almonzo. Eh ouais.

 

Leçon numéro 3 :

 

pantalon-bretelles.jpg

 

Le pantalon à bretelles. Pas très glamour, mais ne risque pas de tomber. Je pense qu’il devait tenir bien chaud. Mais bon, tous le portaient, même si c’est pas super beau.

 

Je crois pas qu’on puisse en trouver dans le commerce aujourd’hui.

 

Edit : en fait, si, mon ami gogol m’apprend qu’on en fait même pour femmes.

 

Faudra que j’aille voir à l’occasion si le chapeau s’est masculinisé aussi, tiens. Je rêverais de voir quelqu'un le porter. Genre Chandler dans un épidode de Friends, talaaaaa (ça lui va bien au teint non ?)

 

euh, j'te trouve pas la photo, je voulais te montrer. J'ai pas tapé les bons mots dans l'ami gogol.

 

Et le meilleur pour la fin : quand mes lectrices se transforment le temps de quelques instants en personnages fictifs, ça donne ça :

 

p'titem aison

 

Désolée, ca pixelise, je sais pas pourquoi, mais vous voyez l'idée ! On se croirait chez les Ingalls, non ?

 

Alors, pour mon premier article mode, ne sois pas trop pestouille et ne m'incendie pas (je recommencerais pas promis, tu comprends pourquoi...) 

 

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 22:13

Tu es là sans être là. Tu n’as peut être même pas conscience que je suis ta maman, que je t’ai porté pendant neuf mois, que je t’ai aimé dès le premier instant.

 

Aucun diagnostic n’a été posé. Tu es dans ton monde, tu ne m’entends pas, ne me comprends pas, mais un seul de tes sourires fait voler en mille éclats la bulle qui nous sépare.

 

Les autres te regardent, ils ne comprennent pas. Le handicap ne s’est pas immiscé dans leur vie, ils refusent même certainement de l’appréhender, et te voient comme une bête de foire.

 

Je suis ta maman, je vois leurs regards se détourner comme si tu n’existais pas, et cela me fait mal. Tu ne t’en rends pas compte, alors je souris comme si de rien n’était, je te fais croire à un monde idyllique où tout un chacun se préoccupe de l’autre et l’aide à surmonter ses problèmes.

 

Dans la réalité, je ne vois que des regards indifférents, mais pas une once d’empathie. Le soir quand je m’endors, il m’arrive de me demander ce que j’ai fait de mal, et pourquoi je dois inlassablement gérer l’ingérable sans aucun répit.

 

Personne ne veut te garder. Les vacances, je ne sais même plus ce que c’est depuis que tu es né. Je suis comme une machine qui tourne à vide, en essayant de ne pas penser à demain, ou si j’y songe, à me forcer de croire que ce sera un jour meilleur.

 

Mais tu ne m’entendras toujours pas. Tu ne seras probablement jamais invité à un goûter d’anniversaire, et ton lourd fauteuil mettra toujours une barrière entre toi et le reste du monde.

 

Je me plais à croire que je suis pessimiste, et que le mal qui te ronge s’estompera un jour.

 

Peut-être même que tu m’appelleras « maman » et que tu me réconforteras dans mes moments de faiblesse.

 

Mais pour tes cinq ans, tu n’as pas soufflé de bougies, et tu n’as pas voulu goûter ton gâteau, que j’avais spécialement préparé pour toi. Mes efforts ne sont pas perçus, et pourtant, je continue à fêter le temps qui passe, en espérant qu’il viendra apporter une explication à ton problème.

 

Quelque soit le handicap de votre enfant, pour toutes mes amies, mais aussi pour celles que je ne connais pas, sachez que votre lutte pour le voir grandir et s’épanouir normalement est des plus admirables.

 

Des moments de doute, vous en avez et en aurez. Du découragement, de la colère, aussi. Je n’ai pas de solution miracle à apporter, juste ces quelques lignes pour vous toutes qui êtes si courageuses, et méritez bien une petite mise en lumière, dans un monde où aider son prochain n’a plus aucun sens.

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 20:50

voila, je t'avais dit que je tentais un concours de nouvelles ;) alors, j'ai écrit ce qui suit, et si tu aimes, tu peux me soutenir jusqu'au 10 Août en cliquant sur les plumes tout en bas de mon texte : plus tu mets de plumes, mieux c'est :)

 

Merci d'avance, voici l'histoire de ta blogueuse déjantée  et pour voter, c'est ici : http://www.aufeminin.com/ecrire-aufeminin/une-histoire-a-rebondissements-n77484.html (merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii)

 

La première fois que je l’ai vu, en l’an de grâce 1998, ça n’a pas été le coup de foudre. Pourtant, il était bel homme, mais un peu trop sportif, le genre à vous filer des complexes alors que vous faites votre jogging tous les dimanches matin.

 
Le sport, pour lui, c’est tous les jours, alors forcément je ne faisais pas le poids.
 
Pourtant, je me pensais sportive, ayant pratiqué de la course à pied pendant des années et ayant même gagné quelques trophées. J’allais vite me rendre compte que j’étais loin du compte face à un homme qui combinait entraînements de football, de tennis, et qui courait quasiment tous les jours. Bonjour les jolis abdominaux.
 
C’est vrai qu’il était plus vieux que moi. Pas le genre bedonnant-la-quarantaine, mais six ans de plus, ça compte un peu non, surtout que je n’avais que 17 ans et une furieuse envie de conquérir le monde masculin.
 
A l’époque, rien ne me résistait. Il faut dire que je mettais le paquet question tenues aguicheuses qui suggéraient mes formes encore sympathiques. Quand je regarde les photos de cette période, je me dis que vraiment, j’abusais. Je n’en étais quand même pas à porter des mini-jupes et des talons-aiguilles, mais mes tops moulants suggéraient un peu trop mes courbes. Treize ans après, quand je me remémore cette période, je me sens confuse.
 
Et pourtant, celui sur lequel j’avais jeté mon dévolu s’en fichait : à croire qu’il ne voyait pas mes fesses musclées. En fait, il préférait lorgner sur celles de ses consœurs tenniswomen, qu’il aimait regarder jouer. Enfin, c’est ce que je croyais. Je me trompais royalement, puisqu’il assistait aux matchs de ses consœurs par pur amour (du sport) et n’avait aucunement d’intention autre que celle de savourer un bon échange tennistique. (Je vous jure !).
 
Trop, c’était trop. La tornade que j’étais n’y a pas été par quatre chemins. Je lui ai demandé clairement pourquoi il regardait ces nanas, et pourquoi pas moi ?
 
Je vous laisse imaginer comment je me suis sentie penaude quand il m’a répondu qu’il admirait leur jeu de balles et non de jambes.
 
Aujourd’hui, quand j’y repense, j’ai honte. En attendant, si je n’avais pas fait ma diva, je serais sûrement encore célibataire à l’heure qu’il est et je n’aurais certainement pas deux beaux enfants.
 
Il faut savoir parfois bousculer l’ordre des choses, même quand il s’agit d’un mâle de soixante-dix kilos pas très ouvert quant aux signaux de séduction envoyés.
 
La première fois qu’il a compris qu’il m’intéressait, il a d’abord été surpris. Il était plutôt timide, et ne s’intéressait qu’à ses crampons et ses raquettes de tennis. Alors une nana un peu dynamique (bel euphémisme pour ne pas dire « fofolle ») qui ne le lâchait pas et commençait à venir le voir jouer au football, ça lui a mis la puce à l’oreille.
 
Et il a commencé à espérer. Et à se dire que la gamine était attachante, et peut être même plutôt mignonne.
 
Il se faisait chambrer par ses potes sportifs, qui le mettaient en garde s’il continuait à jouer les indifférents. Eux ne se gêneraient pas pour tenter leur chance. (Ben voyons).
 
Sauf que la gamine savait déjà ce qu’elle voulait. Et elle allait l’avoir.
Plus tard.
 
Parce qu’une fois le mignon sportif pris dans ses filets, il allait devoir attendre. C’était trop facile. Après tous les efforts que j’avais déployé pour le séduire, l’issue était trop rapide. Je voulais tester son amour.
 
L’été donc sera chaud. Interviennent alors les Hollandais qui ponctueront par la suite tous les discours de mon mâle lors de nos soirées entre amis. D’ailleurs, ne les évoquez jamais devant lui, il pourrait s’énerver en un dixième de seconde. Il n’en garde pas un très bon souvenir, il faut dire aussi qu’ils ne se sont pas gênés pour me draguer.
 
Et vous savez pourquoi ? Les Hollandaises sont blondes, teint de porcelaine, yeux bleus. Et mon petit mètre soixante deux (et demi), mes cheveux couleur corbeau et mes yeux marrons-verts, on dépote dans le paysage hollandais. Forcément.
 
Avec le recul, j’ai encore plus honte (le retour). Mais c’et vrai que sur le coup, c’était sympa de l’avoir gentiment torturé, et de lui avoir montré que tout n’est pas forcément acquis de suite.
 
Je sens que vous êtes intrigués :
 
1. Vous vous demandez si ceci est une histoire vraie. (Il faudra lire jusqu’à la fin, bande de petits curieux)
2. Vous vous demandez pourquoi ne pas avoir concrétisé l’histoire de suite par un baiser langoureux (c’est justement tout ce qui fait le charme de ce récit…)
3. Vous vous demandez si je suis folle (oui…Et alors ?)
 
On s’en tiendra là pour les questions indiscrètes ; à aucun moment de ce récit je n’évoquerai mon tour de poitrine au début de l’histoire et à la fin (car oui, il a changé entre temps, merci l’allaitement).
 
Des semaines ont passé, le jeu de l’amour et du hasard n’en finissait plus. Un coup, je te rencontre fortuitement, un coup je te lance de grands signaux charmeurs. Et au final : le sportif est perdu. Les règles de l’amour sont bien plus compliquées que celles du tennis. Même le résultat est le même : on compte les points pour savoir qui gagne.
 
Petit résumé donc : gamine espiègle : 1 – Sportif : 0
 
En hiver 1998, il décide de passer à l’offensive, un peu poussé par ses copains qui le charrient avec cette histoire. Il est gêné, il faut que la situation soit claire.
 
Il m’invite à regarder « Titanic », histoire d’amour censée entraîner d’autres romances  d’après ses copains qui ont surenchéri : « si tu conclus pas là-dessus, c’est foutu ».
 
J’ai du mal à imaginer la tête qu’ils ont du faire que mon sportif leur a annoncé qu’il avait fait chou blanc et que l’épave de sa tentative était à peu près au même endroit que celle du Titanic, à savoir dans un océan glacial, quelque part entre la banquise de la honte et celle du désespoir.
 
Gamine espiègle : 2 – Sportif : 0
 
De mon côté, je trouve que le jeu a assez duré, je le cherche dans les rues de mon quartier, ne sachant pas exactement où il habite, scrutant des heures durant tous les piétons rencontrés.
 
Rien. Le hasard n’est pas de mon côté.
 
Nous sommes fin Décembre, il y a douze ans. Le dénouement arrive, aussi rapide que le reste de l’histoire a été long.
 
Un baiser passionné dans une voiture qu’il vient d’acheter. En gros, quand il roulait dans sa caisse pourrie, rien ne s’était conclu et de suite avec sa nouvelle voiture, c’est l’amour fou (CQFD ?). Un private joke entre nous.
 
La première fois qu’il m’a présenté à sa famille, j’ai été sous le charme. Une mère bienveillante, un père juste et droit, des frères et sœurs accueillants, c’était comme dans un rêve même si mon sportif restait le point de mire, celui que je n’avais pas perdu depuis le début et pour lequel je m’étais tant battue.
 
La première fois que l’appel de la couette a été le plus fort…Vous n’en saurez rien. Non. Et puis, vous vous en fichez, j’espère que vous êtes tenus en haleine par le dénouement final, treize ans après ? Parce que sinon, je m’arrête là. Point barre et je termine mon histoire sur un gros point d’interrogation.
 
Les années passaient. L’envie d’un enfant grandissait. Surtout pour moi. Nous savons tous que les hommes sont rarement pressés de se mettre des responsabilités en culottes courtes sur le dos.
 
La première fois que j’ai compris que je portais notre enfant, j’ai réalisé la chance que j’avais d’avoir un homme extraordinaire pour m’épauler. Car j’allais en avoir besoin.
 
570 grammes, un retard de croissance très sévère, l’année 2006 voit naître le bébé le plus petit de Bordeaux, et c’est ma fille. Le discours des médecins est encourageant, bien qu’ils ne nous cachent à aucun moment la précarité de la situation de notre minuscule bébé.
 
Je crois que la force dégagée par un si petit être qui se bat tous les jours pour vivre, couplée à la volonté de mon conjoint de ne pas se laisser aller, m’ont permis d’avancer, et de croire en elle.
 
Un tel choc émotionnel où la peur de la perdre, la crainte des séquelles à venir et le décalage entre la réalité que j’avais fantasmée et l’enfant que je tenais dans mes bras aurait dû me laisser abattue.
 
Mais heureusement, la gamine espiègle avait déjà, par le passé, affronté des situations compliquées qui la dépassaient et la force qui s’était crée en elle a jailli au moment opportun.
 
Ma fille a aujourd’hui un petit frère, qui n’a pas connu la même naissance et qui se porte bien. Bien sûr, ma seconde grossesse fut loin d’être une partie de plaisir entre surveillance accrue et repos strict, la peur au ventre que le cauchemar de la grande prématurité ne recommence.
 
Mon conjoint m’a épaulée du mieux qu’il a pu même si je me sentais seule, allongée sur le côté gauche, à ne pas oser faire le moindre mouvement de peur de nuire à mon bébé.
 
Deux enfants magnifiques, un amour solide et endurci par les épreuves subies, il ne restait plus qu’à officialiser toute cette histoire.
 
La première fois que le mot « mariage » avait été prononcé, c’était des années auparavant, mais il n’en avait jamais été question réellement.
 
L’année 2010 allait être celle de la consécration de notre amour, après une longue vie commune et deux magnifiques enfants.
 
Le 17 Juillet 2010, je prononçais mes vœux pour la toute première fois, le cœur battant, avec la certitude que l’homme que j’épousais était quelqu’un de fantastique.
 
La gamine que j’étais avait vu clair plus de treize ans auparavant : loyal, franc, entier, généreux, mon mari me plaisait toujours autant, même si j’avais découvert au fil des années un caractère fort et une tendance à l’excessivité.
 
Cela dit, qui n’a pas de défauts ? Mon impatience, mon obstination et mon côté léger ricochaient sur lui, et il s’amusait de mes vices.
 
Restait le dernier challenge, et pas des moindres : l’épanouissement professionnel.
 
La première fois que j’ai évoqué mon projet le plus ambitieux, il a été un peu sceptique. Ecrire pour le web ? Une lubie qui paraît tirée par les cheveux. Et pourtant. Mon mari ne m’a jamais découragée, même s’il cherche à tempérer chaque jour la gamine espiègle qui sommeille encore et toujours en moi.
 
A force d’obstination, d’aide de la part d’amis, et d’encouragements de toutes sortes, mon projet a vu le jour récemment, et je me suis mise à mon compte. Je rédige dorénavant des articles pour les professionnels du Web. Et j’adore ça !
 
On peut donc penser à une happy end à toute cette histoire, même si elle est, en réalité, encore plus compliquée que cela, d’autres évènements étant venus interférer.
 
Arrive le moment de connaître la vérité : histoire vraie ou montée de toutes pièces ?
 
Je vais être franche, je n’ai menti à aucun moment. J’ai donc eu honte plusieurs fois en repensant à mes folles années de bimbo insouciante. Je ne porte évidemment plus de top moulant, il ne vaut mieux pas d’ailleurs, le spectacle était totalement différent de celui qu’offraient mes dix-sept ans.
 
Il me reste une question à vous poser : est-ce que vous avez tout compris de cette histoire à rebondissements ?
 
Si ce n’est pas le cas, rassurez-vous, c'est toujours comme ça la première fois…

 

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10 juillet 2011 7 10 /07 /juillet /2011 19:39

Attends, je te donne un indice :

 

accro

 

Là, logiquement, tu flippes car tu te rappelles mon super concours Marathon de chez Robeez, 3 mois à cliquer comme une tarée pour faire gagner une paire de godasses à ma naine. Ok, c'était une marque que j'affectionne (encore heureux) mais quand même.

 

3 mois à te harceler, à te dire de cliquer jusqu'à ce que mort  s'ensuive et toi, super sympa, ben...tu cliquais jusqu'à épuisement voire même tu ramenais tes copines folles du clavier pour venir renforcer l'équipe pro-Alexandra.

 

Je ne veux pas te faire peur, mais je tente un nouveau concours, je devrais logiquement avoir bientôt mon texte en ligne, car oui, je tente un concours d'écriture (au moins, là, j'ai produit quelquechose).

 

Je t'appâte en te disant que c'est un condensé de mon histoire d'amuuuuuuur avec mon mari, je ne te dirai pas si ce que j'ai écrit est vrai ou faux (suspense oblige) mais je compte sur toi pour faire travailler tous tes petits doigts pour me soutenir, parce que ça serait cool d'avoir une visibilité en étant dans les textes du haut.

 

Attention, vu ma prose anti Prix Goncourt, c'est (très) loin d'être gagné. C'est un peu comme si Star Wars gagnait le prix du fim d'auteur. C'est dire.

 

Mais sache que je te remercie d'avance, et cela, même si ça te fait une belle jambe. Car oui, disons le franchement, tu t'en tapes de mon concours. Qu'est-ce que tu as à y gagner ?!

 

Franchement rien. L'estime de ta rédactrice déjantée. Attend, c'est énorme, non ? (Qui vient de soupirer devant son ordi ?!!)

 

En plus, c'est un texte inédit proposé pour le concours (encore heureux), alors tu peux y gagner quelques minutes de gymnastique faciale et te demander pendant plusieurs minutes si toute ce que je raconte est vrai.

 

Vendu comme ça, tu n'es pas très enthousiaste, je parie. Mince.

 

Va falloir que je frappe un grand coup en proposant quelquechose de plus alléchant.

 

Mais ne compte pas voir des parties indécentes de mon corps de mère de nains. Eh non.

 

Bon, je te donnerai le lien à suivre en temps utile. Tu cliqueras pas vrai ?!

 

 

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 19:43

Ca en jette comme titre non ?! Ou plutôt, ça donne pas envie de lire...

 

Allez mise en situation : 

 

string-

 

Euh, non, en fait aucun rapport, j'ai retouvé ce vieux doss', un article qui t'avait bien plus, à toi lectrice des débuts de ce blog, le voici au passage si tu l'as raté, toi, nouvelle lectrice :

 

String versus culotte de grand-mère

 

Un grand moment de vantage de ma copine la moule et de sa belle gambette (quand je dis que je pourrais me reconvertir en agence matrimoniale...) face au rhino et son string. Le pauvre. Quand je vois ça, je dis que quand même faut appeler la SPA et surtout une question cruciale : qui a osé lui mettre ? et comment ? Parce que faire lever la jambe à un mastodonte de cette taille, et courir en plus le risque qu'il vous chie (et / ou pète) dessus, quand même, tout ça pour un string...

 

Bon, ce n'est pas le sujet du jour. Si ça t'intéresse, tu n'as qu'à cliquer sur le lien ci-dessus.

 

Donc, à l'ordre du jour, un sujet dont je ne suis pas fière mais qui ne vient pas de mon esprit de faignasse, donc (logique) puisqu'il fait la grève quant aux thèmes à aborder.

 

C'est aussi pour cette raison que depuis le début, je carbure à Engrange du gland, ça faisait longtemps ! Femme fontaine versus chaussures bizarres, je me tate ou encore En avant, couche propre!

 

Tous des sujets donnés par toi, lectrice un peu délurée. Je t'invite à aller lire ses petits articles au passage; ils sont issus des débuts de mon blog, tu les as peut être ratés et ce serait dommage, car crois-moi, y'a du lourd.

 

J'ai même un peu honte mais comme je passe mon temps à me payer la honte, à force, je suis habituée et je te propose des articles de plus en plus douteux quant à leur contenu. Mais tu en redemandes n'est-ce pas ?! (allez, dis oui, steplééééééééé)

 

Parce qu'après tout, faignasse un jour, faignasse toujours. Ca n'a rien à voir, je sais. C'était pour coller au sujet, et tu remarques qu'en fait, j'ai plus parlé d'autre chose que de mon penchant à te faire réfléchir à ma place; en gros, j'assume pas mon esprit paresseux.

 

Pire, je te fais croire qu'il est actif en t'embrouillant (ni vu, ni connu) avec de vieux sujets poussiéreux, à l'époque où je n'étais pas encore débordée de boulot et capable de connecter mes neurones à peu près en même temps.

 

L'arrivée du nain numéro 2 a tout dévasté. Mon périnée (j'en parle plus d'ailleurs, un vrai champ de ruine), mon cerveau (mon...quoi ?!!!) et mon ventre, dont j'étais plutôt fière, et qui ressemble aujourd'hui à une montgolfière à moitié crevée aux contours inégaux.

 

Tu remarques que je raconte n'importe quoi pour noyer le poisson (et ma honte) d'être une grosse faignasse et de me reposer sur mes lauriers, pendant que tu te creuses la cervelle pour me fournir le nectar de ton génie, à savoir un sujet pour mon article.

 

Alors merci.

 

Pense à me dire si tu aimes le rhinocéros en string, et si tu as de la peine pour lui, parce que, le pauvre, il doit souffir quand même. (En même temps, un seul pet et le string vole en éclat, ça doit dégazer dur un mastodonte pareil...)

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 19:15

Au cœur même de la ville de Bordeaux, dans une petite rue commerçante, il est une boutique qu’il ne faut pas négliger, parce que contrairement à la concurrence, elle est authentique. Aussi entière que sa gérante, qui se donne chaque jour du mal pour trouver des articles uniques et originaux.

 

Je profite donc de ma fenêtre virtuelle pour exposer ma trouvaille, et la décorer de fleurs aux senteurs exotiques : la boutique « Garence ».

 

P1060003.JPG 

 

Rien que sa localisation en dit long sur l’essence même de sa création : une petite rue, où les Bordelais aiment se promener. Un endroit rempli de charme, loin des boutiques aux habits uniformes, dans des rues sans esprit.

 

Garence a toujours voulu privilégier l’authenticité. La collection de cette boutique est sincère et conçue en petite quantité.

 

Avec Garence, vous avez la certitude que les vêtements que vous portez demeurent des pièces de collection, introuvables dans les grandes enseignes. Un excellent moyen de vous démarquer intelligemment en arborant fièrement des accessoires ou des habits avec une saveur particulière, celle de la singularité.

 

Pour avoir visité personnellement ce commerce, je peux vous assurer que les prix sont très démocratiques. En effet, dans les esprits, tout ce qui est authentique est forcément inabordable dans un budget de mère de famille dévouée.

 

Chez Garence, ce n’est pas le cas ; vous êtes donc en présence d’un commerce à la fois original et démocratique, pourquoi ne pas aller le visiter ?

 

Vous tomberez sous le charme et serez conseillée au mieux par Dominique, la gérante, qui dirige sa boutique d’une main de maître et vous assure un accueil chaleureux.

 

Il ne vous reste plus qu’à vous rendre 59 rue de Remparts, à Bordeaux, une petite rue proche de la Cathédrale Pey Berland, je serai ravie d’obtenir vos avis sur la perle que j’ai découverte, grâce à une amie.

 

Vous pouvez également composer le 09 51 45 53 54 pour toute question. Dominique vous attend.

 

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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 21:29

Tout d'abord mise en situation pour expliquer ce titre un peu space :

 

 

accro

 

Est ce que tu vois où je veux en venir ? Genre cliqueuse folle amatrice de concours en tous genres, ou forum-addict qui a besoin de savoir si le caca du fils de sa cyber copine est redevenu normal, ou encore amatrice de blogs à l'humour débilos qui a besoin de sa dose régulière...

 

Si tu fais partie d'une de ces catégories, cet article t'est dédié, car je suis certaine que le mâle t'a déjà hurlé cette phrase ô combien romantique : " pose ton ordi ou je le jette par la fenêtre !"

 

Et là, tu as beau prétexter que oui les problèmes de constipation de ton filleuil virtuel sont importants, oui le concours qui se finit demain est capital et oui tu veux parcourir le blog de ta cops qui te fait oublier tes tracas...

 

Le mâle n'en a rien à secouer...Il menace de jeter ton Précieux  ordi à côté de la sapinette qui pousse tout doucement sous tes fenêtres, trois étages plus bas, et inutile de te dire qu'il n'y survivra pas. Saleté de concepteurs qui n'ont pas prévu les problèmes de ce genre.

 

D'ailleurs, pourquoi ne pas faire signer une pétition en ligne ?! Sauvons nos Précieux des griffes acérées de nos mâles, et protégeons-les contre les attaques machiavéliques à coup de coca (ça doit faire mal, ça, sur un clavier) ou de marteau ou de je ne sais quoi d'autre d'ailleurs.

 

Car oui, ton mâle n'aime pas ce qui se trame. Il a peut être même du mal à te croire quand tu lui parles des problèmes de couches des gosses de tes cyber copines. Pour lui, c'est une phrase codée pour dire : " je flirte sur Meetic"; alors que pas du tout. Tu te soucies vraiment des problèmes intestinaux de ton filleuil virtuel. Eh oui. Mais ça, le mâle, il comprend pas...

 

Par contre, ses parties de poker pendant plus de trois heures où tu as pas le droit de lui adresser la parole, ça, c'est normal, hein ? Pas de discussion personnelles, pas d'échanges réels, juste des cartes et des jetons. Tu kiffes pas, pas vrai ?

 

Propose de passer son ordi par la fenêtre à la prochaine partie de poker en ligne, tu as la garantie de pouvoir discuter avec tes copinautes toute la soirée.

 

Ok, c'est vrai que tu y vas un peu fort ces derniers temps : forums, concours, lecture de tes sites web préférés et un petit extra avec un craquage sur ton e-commerce de prédilection. Ok, la CB a chauffé sur internet.

 

Un conseil : laisse le jouer en ligne quelques heures histoire d'éviter une grosse enguelade. C'est du donnant-donnant avec Internet, il faut que ça aille dans les deux sens.

 

Et puis, réserve un petit restau, fais garder les nains et passe une soirée avec ton Précieux mari, juste pour lui montrer que non, tu ne le trompes pas avec ton ordi, c'est juste que tu es entrée dans un système qui crée une petite addiction mais que tant que ta pile de repassage ne devient pas le mont Kilimanjaro, tu as le droit d'avoir ta cyber dose.

 

Maintenant, je serai curieuse de savoir si tu as déjà entendu cette phrase : "pose cet ordi ou je le défenestre !", donc, fais péter ton comm'

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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 20:48

J’suis nulle pour trouver des sujets…

 

Bon, c’est pas nouveau, je suis une quiche en cuisine (on le saura), en dessin, en Maths mais surtout, je suis incapable de trouver un sujet toute seule.

 

Et pour preuve, ça fait quinze minutes que je fixe bêtement ma page Word sans rien écrire, car forcément, je n’ai pas de fil conducteur.

 

En même temps, vu comment je divague sur les sujets que tu me proposes, je me dis que c’est comme d’hab’, quoi, à la bonne franquette, un concentrée de saucisses frites bien familières, qui dégoulinent un peu partout sur les doigts.

 

Sinon, tu vas bien ? Parce que je parle beaucoup de moi, de mon projet, de mon auto-entreprise, de mes clients, MOI, MOI, MOI…Mais et toi dans tout ça ?

 

Tu me lis, imperturbable, tu votes, tu cliques, tu commentes, tu partages, t’es toujours là quoi. Alors, pour ceci, je te dis merci et promis, je ne ferai pas dans la guimauve cette fois-ci (pas envie que le comité anti-cirage de pompes ne me dénonce).

 

J’suis comme ça, je dis ce qui me passe par la tête et crois moi, ça m’a valu des problèmes, mais c’est toujours sincère (et c’est bien ça le souci).

 

Bref, tu vois, si tu ne me coupes pas, je recommence avec mon égo qui éclipse la feuille blanche, il faut me faire taire, dégainer ta camisole de force virtuelle et me la passer le long du corps pour que j’arrête de parler de moi.

 

Je sais que tu es patiente, et ce que tu veux, c’est te détendre. Tu as même sûrement une bonne blague à me raconter ?! Parce que je te préviens, je suis nulle en blagounette, je suis toujours prise au dépourvu quand on me demande d’en raconter une, un vrai boulet…

 

J’aimerais aussi savoir si tu aimes le couscous, et le parmesan ? Si tu ne rates aucun épisode de Desperate Housewife ? Si tu es plutôt Brad ou Georges ? ou Angelina d’ailleurs ?

 

Je ne sais rien de toi, c’est la loose après plus de six mois à écrire sur mon blog des futilités….Je veux du concret (et de la joie, de la bonne humeur)

 

Et puis tu sais quoi ? T’es bien sympa quand même à me réserver un p’tit créneau le soir, après ton repassage (n’est-ce pas Hélène A. ?) et à me bichonner à coup de commentaires enjoliveurs (n’est-ce pas Fany V. ?)

 

Alors, maintenant, j’attends de tes news, viens me raconter tes petits secrets…Et rassure-toi, je ne les raconterai pas dans ma prochaine chronique (quoique…)

 

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 22:04

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Aussi léger qu’une plume, invisible mais pourtant crucial, le souffle, c’est la vie.

 

Jeunesse insouciante, bulles qui s’envolent vers un avenir incertain, éclats de rires qui résonnent encore et encore faisant fi de la réalité.

 

Une vie pavée d’obstacles, où médecins et spécialistes se relaient pour maintenir le souffle.

 

Bulles d’amour aux contours réguliers, la douceur du foyer apporte l’équilibre nécessaire pour avancer.

 

Envie de rebondir, de se laisser aller au gré du vent, désir d’escapade lointaine, respirer.

 

Bulles brisées par un destin tragique, injuste et froid, mais nous continuons à penser à toi, la plus courageuse des princesses du souffle. Notre Albane.

 

Ayons une pensée pour tous ceux, qui, comme Albane en ce moment même, se battent contre cette fichue maladie.

 

  http://www.vaincrelamuco.org/

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Statut auto entrepreneur depuis Avril 2011, je suis à votre disposition pour parler de vos envies, vos besoins, votre but.

   

N'hésitez pas à me contacter.

Alexandra Le Dauphin-Tressos  

alexandra@droledeplume.fr

 

Mon site internet : www.droledeplume.fr

 

 

 

 

 

 

Ils me font confiance

Petit à petit, l'oiseau fait son nid. Ta blogueuse tisse des contacts et noue des relations privilégiées avec certains acteurs du paysage web.

 

Merci à ceux qui me font confiance et m'ont confié la rédaction de textes pour leur business comme :

 

 

Camily's, boutique belge de ventes de vêtements pour les 0 / 14 ans de grandes marques à prix mini :

 

http://www.camilys.be/page/3896-

 

Allo Baby Planner, spécialiste de la puériculture, aide aux parents : (rédaction de la page d'accueil)

 

http://www.allobabyplanner.com/Accueil.html

 

Partenaire WebMarketing, votre coach stratégie sur Internet : (rédaction de la page d'accueil)

 

http://partenaire-webmarketing.com/

 

Mon partenaire webmaster, Anthony de Sitinweb :

 

http://www.siteinternet-autoentrepreneur.fr/

 

Sacrés Mômes, un blog drôlement chouette où j'interviendrai régulièrement, merci à Cécile de sa confiance :

 

http://www.sacres-momes.com/blog/

 

 

Princesse Wanda, artiste de génie du relooking de meubles anciens :

 

http://princessewanda.space-blogs.com/blog-note2/42522/ce-qu-en-pense-alexandra-le-dauphin-redactrice-web.html

 

Un amour de petite chose, boutique de créations uniques pour femmes, enfants :

 

http://selly.canalblog.com/archives/generalites/index.html

 

 

 

 

 

 

 

 

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